COLLECTION ESCORT BOY. Ma voix m’a amené à devenir une pute (1/1).
Datte: 20/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Je me présente Christopher, à vingt-six ans, je suis la pute de dames friquées.
Il y a deux ans que je me prostitue afin de gagner de l’argent pour avoir une vie facile.
C’est ma sœur Corinne qui m’a mis le pied à l’étrier, oh ! bien sûr, sans le vouloir, mais aux actes sexuels contre rétribution.
Corinne est infirmière dans une Ehpad de bon niveau dans le XVIe arrondissement.
Je cherchais ma voie dans le show-business, mais pour 100 propos de garçon se trouvant une voix harmonieuse, 1 ou 2 arrivent à émerger.
Ma voix fait partie des cent, mais loin des deux gagnants.
Ma voix, certes, je pensais que c’était un atout, mais ma chevelure blonde et mes yeux bleus sur un corps à la musculature parfaite se sont avérés bien plus productifs.
Ce corps sans penser qu’il me servirait un jour à me faire payer pour baiser, je l’entretiens depuis mes douze ans ou j’étais chétif à en faire peur.
L’ablette ou l’asperge, c’était mes surnoms dans la cour de l’école tellement j’avais poussé vers le haut oubliant de m’étoffer.
Par chance, notre maire dans notre banlieue mettait à notre disposition un secteur sport avec foot, Mbappé, j’en ai rien à cirer ayant deux pieds gauches pour ce sport.
Étant grand, j’aurais pu être attiré par le poste de gardien, mais comme je l’ai dit, même à la télé, le foot je m’en bas la queue.
Excuser ma grivoiserie, j’en ai rien à foutre quoi que !
Il y avait la piscine, un albatros, c’est comme cela que l’on m’a défini lorsque ...
... nous sommes allés apprendre à nager pendant les temps d’école.
Un moniteur affecté à la piscine a voulu me faire faire un essai, mais j’ai vite dit, non, des heures à faire des longueurs si pour le foot je m’en battais la queue.
Excuser, mon manque de respect pour tous les albatros qui acceptent ces contraintes, j’ai préféré en avoir, mais sur la terre ferme dans une salle de musculation.
Les résultats sont venus et rapidement de monsieur sac d’os, je suis passé à monsieur muscles à la limite de devenir monsieur univers.
Bon, j’exagère, car je préférais un bon steak à des protéines infectes.
Et après ma mue corporelle et celle de ma voix, je suis ce que l’on appelle un tombeur.
Dès que j’ai pu perdre mon pucelage d’assez bonne heure avec Gisèle, la copine de Corinne, j’ai eu de nombreuses aventures avec des jeunes femmes toutes avec un âge loin de dépasser la trentaine.
Parmi elle, il y avait Sabine et Laurine, deux femmes mariées que j’ai baisées sans la moindre considération pour leurs maris et enfants.
Du moment qu’il y avait des trous et des poils, ça me suffisait.
Bref vie insouciance de cancre qui s’est retrouvé obligé de trouver une porte de sortie à vingt-cinq ans pour pouvoir crouter.
C’est Corinne qui m’a apporté la solution.
• Christopher, j’ai parlé avec ma directrice, elle est d’accord pour que tu viennes chanter devant les résidents tous les mardis après-midi.
Si ça plait, elle te fait fort de te faire des contrats dans tous ...