Mario, le quinquagénaire Portugais 3
Datte: 20/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Passud, Source: Hds
... en râlant son énorme plaisir.
Il recule pour s'assoir sur une chaise derrière lui.
"C'est toujours très bon, Pascal ! J'ai beaucoup plaisir, chaque fois ! Merci !".
Il me faut attendre que Mario passe derrière moi, pour lui répondre:
"Arhhhhhhhhhh ! Moi aussi ! Dimitri, j'adore baiser... Arhhhhhhhhhh ! Avec toi !".
"Tu aimes aussi grosse bite de Mario ! Je crois !".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiii !".
"Oh putain, c'est trop bon Pascal ! Quand je pense au temps qu'on a perdu tous les deux !".
"Arhhhhhhhhhh ! Arhhhhhhhhhh ! Tu te rattrapes, je vois ! Arhhhhhhhhhh !".
"Arhhhhhhhhhh ! Je vais jouir moi aussi ! J'aime trop t'enculer Pascal ! Arhhhhhhhhhh !".
Il me plante d'un sec et profond, ses effluves me remplissent le fond de l'anus.
Je redescend lentement de mon dernier orgasme anal, je ne les ai pas compté, tant ils étaient nombreux.
Comme Dimitri, il prend place sur une autre chaise et contemple mon anus béant et dégoutant de foutre.
"Il est beau comme ça, tu trouve pas Dimitri ?".
"Très beau, il a cul parfait !".
"On a de la chance, alors !".
"Beaucoup ! J'aime pédé ...
... comme lui !".
"Moi aussi !".
Je reste ainsi pour récupérer de leurs saillies destructrices, pendant que Dimitri range sa bite et va rejoindre ses potes.
Mario se rhabille, puis me demande:
"Ca va, mon petit Pascal ?".
Etonnant comme tous mes amants me donnaient, naturellement, ce petit surnom.
"Vous m'avez détruit ! Je suis mort !".
"Tu veux que je t'aide ?".
"Oui, tu peux m'essuyer le cul et le dos, s'il te plait ?".
"Bien sur !".
Il me nettoie avec tendresse, il me dépose plusieurs baisers sur les fesses en m'essuyant.
Je me redresse et me rhabille, il m'attend, puis m'enlace et me dit:
"Merci beaucoup ! Mon petit ! A demain matin ! Repose-toi ! Tu auras ton petit déjeuner en arrivant !".
Il a tenu sa promesse, j'ai eu ma dose de sperme chaud et poivré avant de travailler, c'est nourrissant et motivant !
En rentrant après notre trio, Corinne ne m'a pas sollicité, elle aussi, avait connu les outrages épuisant de son amant.
Mais tout ça, je ne le saurai que bien plus tard.
Toutefois, nous étions pris tous les deux de flatulences jusqu'au soir.
L'évidence aurait du me sauter aux yeux ! Quel idiot !