« La bourgeoise au super marché »
Datte: 19/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: MG8895, Source: Hds
... permettaient de stagner dans la montée du plaisir.
Elle me massait fortement les bijoux de famille et fourrait sa langue dans ma bouche. Sa langue tournoyait autour de la mienne, fouillait mon palais, ses lèvres, tel un poisson lèche vitre, suçait ma langue et mes lèvres, je suffoquais de par la brutalité de son audace. Elle passa sa main sous mon caleçon, pour me masturber violemment, elle tirait très fort sur mon fourreau pour décalotter ma tige et faire saillir mon gland, le prépuce tendu à son maximum, j’avais le sentiment que le frein allait se déchirer.
Elle me branlait à toute vitesse, j’ai voulu la toucher…,- je te l’interdis !!!! C’est moi qui dirige, je ne le répèterai pas.
Je m’exécutai sans contredire, le mélange de douce douleur et de plaisir commençait vraiment à m’exciter fortement.
- Allez bande, je veux une belle queux et bien dure surtout.
Elle quitta ma bouche et se rendit à nouveau sur mes tétons pour les mordiller, les téter, les lécher. Ses coups de langue provoquaient des picotements dans mon bas ventre. Maintenant j’étais dur, alors, elle baissât mon pantalon et mon boxer, descendit son cuir noir sur ses hauts talons, sans culotte, ni string, elle s’est mise à me chevaucher ardemment. Elle s’assit d’un seul mouvement, s’empalant sur ma bite, elle se relevait avec vigueur et rapidité, elle voulait jouir vite et bien.
Après 10 mn desuperposition, elle se retira pour se mettre en levrette :- Sodomise moi fort et vite, je veux ton membre ...
... en moi, le plus profondément possible, tu arrêteras quand je le déciderai, surtout tu ne me touche pas !
Sans crier gare, je l’ai enculée, sans préliminaire, c’était sec et étroit, je poussais et retirais mon pieux, mon éjaculation rapide m’a permis de soulager ma douleur. Mon sperme a servi de lubrifiant. Je pouvais aller et venir à ma guise, lorsqu’elle cria : - Défonce moi, déglingue moi le cul, oh oui, déchire moi bien, doigte moi la chatte aussi !!!!
Je transpirais, elle hurlait, je la pilonnais, elle vociférait, je la doigtais sans ménagement, mes doigts dégoulinaient de cyprine.
- Vas-y, baise moi, fais moi mal !
Je n’aimais pas cette façon de baiser, je n’aime la brutalité, ce n’est pas mon truc, pour certains oui mais pas pour moi. Je continuais à la sodomiser tout en la doigtant. Je ne savais pas comment faire pour la satisfaire. Elle en voulait toujours plus et plus fort. L’idée m’est venue de lui prendre les cheveux et de lui tirer la tête en arrière.
- Un « oh ouiiiiii » guttural retentit aussitôt, comme ça ouiiii.
Je lui claquais les fesses, les traces de mes doigts rougissaient malgré sa peau métissée. Mes mains chauffaient par la force que je mettais pour la fesser. Je commençais à aimer cette pratique qui, m’était totalement étrangère jusqu’à ce jour.
Elle m’avait pourtant interdit de la toucher mais les pseudo brutalités malgré tout contrôlées la rendaient folle de jouissance. Elle prenait son pied dans la douleur. Je lui pinçais le bout ...