1. Ce que femme veut « encore et toujours »


    Datte: 19/07/2025, Catégories: fh, extracon, vacances, amour, massage, caresses, confession, nostalgie, extraconj, Auteur: Patrick Paris, Source: Revebebe

    ... pieds, la réaction est immédiate. Elle doit se rendre compte de l’effet produit :
    
    — Tu aimes comme ça ?
    
    C’est plus une constatation qu’une question. Une petite claque sur les fesses :
    
    — Allez, monsieur, on se retourne.
    
    Réflexe bête, je pose mes mains devant moi. Surprise, sa robe est sur la chaise, elle est entièrement nue, une taille de guêpe, de charmants petits seins, un petit triangle noir orné d’une fine toison. Sur un petit nuage, je la laisse faire, elle est experte.
    
    Rapidement, après un semblant de massage, elle se saisit de ma queue, me branle lentement et me chuchote dans le creux de l’oreille :
    
    — Tu veux la totale ?
    
    Bien sûr, je veux, ma tête est en ébullition. Sans réfléchir :
    
    — Combien ?
    
    Elle tend sa main ouverte montrant ses cinq doigts. Je crois comprendre. Je dépose un billet de 50 dollars sur la table de nuit. Elle me sourit discrètement.
    
    Sans attendre, elle revient à son ouvrage. Quelques coups de langue sur le gland, satisfaite du résultat, elle m’équipe d’un préservatif sorti de je ne sais où, et s’allonge sur moi. Ses seins fermes, ses cuisses, la douceur de sa toison sur mon ventre. Je la serre contre moi, prends ses seins à pleines mains, joue avec ses tétons, et l’embrasse dans le cou. Elle se laisse faire, semblant apprécier mes caresses.
    
    Elle se positionne, quelques mouvements de reins, je la pénètre sans avoir besoin de ne rien faire. Sa respiration s’accélère, elle se colle à moi sans bouger, sa tête au creux de ...
    ... mon épaule. Je la retourne lentement pour me trouver au-dessus d’elle, maintenant c’est moi qui dirige, c’est moi qui lui fais l’amour. En caressant sa poitrine si menue, j’essaie de l’embrasser, elle tourne la tête, pas sur la bouche… c’est vrai, une professionnelle n’embrasse pas. Elle bloque mes hanches avec ses cuisses. Je commence alors un long va-et-vient, qui rapidement me fait remplir le préservatif.
    
    A-t-elle joui ? Sûrement pas, pas une professionnelle. Pourtant, un petit rictus lui déforme le visage, elle semble heureuse, comme une femme comblée.
    
    Une bise sur la joue, sa prestation est terminée. Elle se lève, direction la salle de bain :
    
    — Merci, dit-elle du bout des lèvres.
    
    En entendant la douche couler, j’essaie de la rejoindre, mais j’ai encore du mal à poser mon pied par terre. Déjà, elle revient, le mirage est terminé, elle a enfilé sa petite robe. J’ai l’air un peu con, nu debout devant elle :
    
    — Attention ! me dit-elle. Ne forcez pas trop, il vous faut une bonne nuit de repos.
    
    Elle m’oblige à m’asseoir au bord du lit et s’assoit à côté de moi :
    
    — Alors, ça t’a plu ? dit-elle en riant de son rire cristallin.
    
    Et sans attendre ma réponse, elle se jette à mon cou et colle ses lèvres sur les miennes dans un long baiser. Ses lèvres sont fraîches, mais le bonheur n’a qu’un temps :
    
    — Il faut que je file, me dit-elle soudain sérieuse, en se levant.
    
    Je la suis sans me préoccuper de mon pied, et l’attrape par le bras pour lui rendre son baiser ...