Caroline, la bourgeoise abandonnée (8)
Datte: 18/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Marcs75, Source: Hds
... déshabillé en satin pour lequel tu craques à l’idée de dissimuler ta tenue coquine à ma vue, dans un premier temps. Alors que tu payes, le vibro recommence son massage, et tu remontes en vitesse dans l’appartement pour essayer ta tenue. Tu es splendide, tu es certaine que cela va me plaire et que je vais bien te baiser pour te remercier de ce cadeau. Ton téléphone sonne. Je viens de te dire que je pars de l’hôpital et que j’arrive d’ici un quart d’heure. Tu t’allonges dans le canapé, qui fais face à la porte d’entrée, et replies tes jambes sous toi. Tu places le déshabillé afin de découvrir ton décolleté et la naissance de tes cuisses. Tu as un bras derrière la tête, et de l’autre, tu te caresse délicatement la poitrine, entre les deux seins.
Quelques minutes plus tard, j’entre dans l’appartement.
— Bienvenue, mon petit chéri, dis-tu d’une voix suave et sensuelle. Je t’ai attendue toute la matinée sans me caresser, comme tu me l’as demandé. Mais le vibromasseur m’a vraiment torturé, j’ai vraiment besoin que tu me fasses l’amour et que tu me fasses jouir !
— Tu es splendide, dis-je en m’allongeant à côté de toi et en t’embrassant tendrement.
Je passe une main le long de ta jambe, de ta hanche, remonte sur ton ventre, entre tes seins et viens titiller le téton sensible de ton sein gauche.
— Mais je t’avais dit de rester nue, sous ma ...
... chemise. Tu m’as désobéi. Tu sais que je vais devoir te punir.
— Viens sur mes genoux.
Tu te places à quatre pattes sur le canapé, présentant tes fesses magnifiques sous mes yeux. Je relève le déshabillé et fait glisser ton tanga pour les mettre à nu.
— Tu vas compter jusqu’à dix.
Ma main s’abat sur ta fesse gauche avec ardeur. Tu pousses un petit cri de surprise. Ce n’est pas vraiment douloureux, et plutôt excitant.
— UN !
Ma main caresse ta fesse rougie et s’abat sur l’autre.
— DEUX !
Je reprends mes caresses et punis la fesse gauche de nouveau.
— Mmmm, TROIS, continue, mon petit chéri.
Une fois arrivés à dix, je te demande de te relever, et je t’emmène jusqu’au lit. Je prends dans mon armoire deux bandes de tissu en satin d’un rouge éclatant.
— Allonge-toi, dis-je.
Tu t’exécute, et je fais passer tes mains dans chacune des lanières que j’accroche aux barreaux de la tête de lit. Tu ne peux pas bouger, tu es à ma merci, et cela t’excite encore plus, tu es au bord de l’orgasme. Mes mains parcourent chaque centimètre carré de ton corps, tu gémis de plaisir. Je me déshabille et m’allonges nu sur ton corps. Mon sexe tendu se presse sur ton clitoris qui est sur le point d’exploser.
— Prends-moi, maintenant, baises-moi, je t’en supplie !
— Je vais te la bouffer un peu avant, dis-je.
— Non, viens, je veux te sentir.