1. La Cravache Rose Ch. 02


    Datte: 18/07/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bymeo75, Source: Literotica

    « Bonjour Alice,
    
    Je tourne en boucle sur comment t'écrire, tellement je ne sais pas par quel bout le prendre. Je me sens très coupable vis-à-vis de toi, tu as pleinement raison, cela ne se fait pas du tout, et même si je vais essayer de m'expliquer, cela n'excuse rien du tout. Je ferai ce que tu voudras, en espérant que tu accepteras que nous continuions à nous voir, tant tu es importante pour moi, la personne la plus importante de me vie. Je sais bien que je mérite d'être punie.
    
    Paradoxalement tout s'est déclenché quand tu m'as répondu, au fait que Clément ne savait pas quoi faire de la cravache rose que mes étudiants m'avaient offerte, que Louis saurait parfaitement s'en servir. Je me suis littéralement liquéfiée à ce moment-là. J'ai senti tout le sang de mon corps descendre dans mon bas ventre, et des flots d'excitation inondeer dans ma culotte. Je me suis précipitée aux toilettes, si tu t'en souviens, évoquant des spasmes digestifs, mais ce n'est pas de cela dont il s'agissait. J'ai même du mettre une protection dans ma culotte tant je coulais, ma tête tournait. Et dès ce moment, je n'ai plus pensé qu'à cela, Louis avec la cravache rose, me fouettant les fesses.
    
    Ma bêtise et stupidité a été de ne pas concevoir à quel point cela était sexuel, et que cela ne pouvait tourner que dans un rapport sexuel fougueux. Je n'ai plus dormi une minute en pensant sans cesse à cette image, me masturbant sans cesse, en vain, pour me calmer. Hagarde, j'ai profité de ton absence ...
    ... pour me rendre chez vous, ayant absolument besoin de me défaire de cette image, de ce désir. Que j'ai depuis toujours, j'ai toujours rêvé d'être ainsi durement corrigée, mise au coin, de ramper, de pleurer de souffrance! Je me disais que soit Louis me jeterait, ce qui me calmerait, soit au contraire. Et c'est ce qui est arrivé.
    
    Et je veux être transparente avec toi, si je me sens très mal vis-à-vis de toi, paradoxalement, je ne regrette rien. Et tu avais raison, je n'étais pas désolée quant tu m'as parlée au téléphone, mais bien au nirvana, enfin à ma place à trente-deux ans! Chaque instant, chaque humiliation ou violence de Louis, ont été pour moi des bonheurs ineffables, qui jamais ne s'effaceront de ma mémoire. C'était tellement plus fort que tout ce que j'imaginais. Et si cela m'a un peu calmée, je reste avec une énorme boule au ventre de désir et de besoin. Je ne désire aucunement une relation amoureuse, je sais comme Louis est tout à toi et réciproquement, et surtout je sais que je n'en suis pas du tout digne ni à la hauteur, il n'y a pas de question là-dessus, mais le besoin de ramper, être humiliée comme il le fait si bien, et battue, comme tu l'avais souligné. Je sais que ces désirs en moi sont bizarres, mais je vis avec depuis toujours ou presque, ils font partie de moi et je ne cherche pas à comprendre.
    
    Tu es paradoxalement la seule avec qui je peux partager toutes ces émotions, mais je ne sais pas comment tu les reçois. J'aimerais te raconter comme j'ai mal ...
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