1. Les malheurs de Clotilde Ch. 15


    Datte: 18/07/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... plus de douleur et d'humiliation, ou parce qu'une prémonition l'avertit que son supplice va être plus éprouvant encore? En tout cas, quelle que soit la cause, Ninon se met à trembler de tout le corps, telle une cavale que mate la poigne du cavalier. À la nuance près, qu'il ne s'agit point d'une poigne, mais d'une pine.
    
    Elle la sent contre ses reins, écartant la raie de ses fesses. L'homme la tient d'une main, frottant son dard dans l'échancrure, pour endurcir encore plus sa bandaison qui, déjà, est plus que conséquente. Mais cela ne va pas à son idée, il se fait plus exigeant. Du tranchant de la main, il donne à Ninon des petits coups violents, afin de lui faire prendre la position qui lui convient. Puis de la rectifier à sa mesure. Les coups portés avec sa main, dur comme du vieux cuir, font couiner Ninon. Hélas pour elle, la belle prof est sans illusion quand à ce que l'on peut attendre d'un mâle en rut. Ses violeurs précédents le lui ont prouvé. Aussi adopte-t-elle la position qu'il veut lui faire prendre, renonçant de nouveau à résister.
    
    Docilement, comme une bonne putain, elle remonte les genoux, se dispose bien à plat, écartant les cuisses afin de présenter son cul en une pose très obscène. Ninon se sent salope, mais elle n'a pas le choix. Elle se met à quatre pattes, fait la chienne, le haut du corps s'affaisse, jusque à ce qu'elle puisse poser son visage sur ses avant-bras repliés. Offrant ainsi son cul parfait dans toute ses splendeurs, avec une obscénité qu'il ...
    ... est impossible de dépasser.
    
    Moi :
    
    Quand je me réveille, si j'ai encore vraiment mal dans tout mon corps, plus particulièrement aux seins, à mon sexe et à mon anus, la douleur n'est plus aussi violente qu'avant mon évanouissement. Je suis dans un lit moelleux, je sens ma peau propre, sur tout mon corps. Même ma chatte ou mon trou-du-cul ne colle plus de semence. Je force pour ouvrir les yeux, je suis dans une chambre d'hôpital, mais je ne peux bouger les bras. Mes poignets sont attachés aux barreaux du lit se trouvant de chaque côté. Le drap qui me couvre jusque en dessous ma gorge, me fait ressentir à son contact que je suis nue en dessous.
    
    Je tourne la tête, il y a une jeune et belle infirmière rousse assise dans un fauteuil. Je trouve sa blouse beaucoup trop sexy, mais je ne m'appesantis pas là-dessus. Quand ma tête bouge, l'infirmière se lève, puis me dit :
    
    - Je vais chercher le docteur.
    
    - Je suis où?
    
    - Le docteur vous expliquera tout.
    
    Je la regarde sortir, sa blouse arrive juste en dessous de ses fesses, en relevant le bas quand elle marche.
    
    Moins de cinq minutes plus tard, un homme banal au physique banal entre dans la pièce. Blond, il doit avoir entre trente-cinq et quarante ans.
    
    - Bonjour Clotilde, je suis le docteur Douglas Nessy. C'est moi qui vous est opéré en urgence, vous aviez pas mal morfler.
    
    - J'aurais des séquelles?
    
    - Anal et vaginal, oui. Mais rien de trop handicapant. Juste du douloureux.
    
    - Pourquoi je suis menottée?
    
    - ...
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