La conquête du trône de chêne, une aventure médiévale de la Fucking Queen - Histoires de Sexe

La conquête du trône de chêne, une aventure médiévale de la Fucking Queen

Par un beau jour de printemps, la Fucking Queen se rendait sur les terres d'un comte voisin. Celui-ci convoitait ouvertement un droit de cuissage sur la reine, qui, elle, convoitait secrètement le trône de chêne ouvragé de ce chevalier servant.

Or donc, les appétences obscènes de l'un pouvant servir les ambitieux desseins de l'autre, voici ce qu'il advint.

Après avoir passé en revue les armes du comte, les avoir tâtées et soupesées, elle estima qu'il était fort bien pourvu, et qu'il serait bon de s'allier à un chevalier aussi puissant.

"Assurément beau chevalier, n'êtes point boursemolle, et j'imagine votre gourdin propice à estourbir pucelle qui s'y frotte ! Alors pour ne point finir baronnet mais faire valoir vos attributs à leur juste valeur, vous devriez les déposer aux pieds de votre reine et l'en honorer dignement !"

Engaillardi par ces encouragements, il avança vers elle avec l'oeil du conquérant.

Elle recula subrepticement jusqu'au trône brigué.

Et ce fut son tour de dévoiler ses armes, qui résidaient dans ses charmes. Acculée au trône de bois dur qu'elle caressait comme on fait d'une gaule bandée, elle pourfendit l'homme soumis à ses penchants impérieux pour la débauche d'un regard ardent, pour demander lascivement si elle pouvait s'asseoir sur ce trône si attirant.

Il résista, arguant qu'oncques autre que lui n'osa tenter d'y asseoir son fondement sans crainte de trépasser sur-le-champ.

Elle passa suggestivement sa langue sur ses lèvres ...

... sanguines, et se fit aguicheuse:

"Mais, doux chevalier, je ne crains point de subir petite mort: avez vous déjà fait l'amour sur ce trône?"

"Palsambleu! Faire l'amour, quelle garce ! Un comte et une reine ne font pas l'amour, ils forment alliance fornicatrice dans le meilleur des cas, et ils se soumettent à la loi de la raison ! La voilà qui minaude la puterelle! " Songe t'il par devers lui.

Il se versa un trait d'hypocras qu'il s'envoya cul sec avant d'en emplir deux gobelets et d'en tendre un à sa dame d'un air égrillard.

"Je vais vous faire une proposition, dit elle, joignant le geste à la parole:

Je vais prendre place sur votre trône, et vous resterez en face, pour regarder, décréta t'elle, brandissant un sceptre phallique de cristal, qu'elle trempa dans l'hypocras pour le lécher ensuite.

Je vous montrerai comment se tient une reine sur le trône, et dans quelles tenues... Je vais retirer cette robe, et vous montrer ma lingerie... Je prendrais toutes sortes de positions susceptibles d'émouvoir votre chibre, dit elle, faisant pénétrer le sceptre dans son orifice rougeoyant...

Et lorsque votre lance pointera hardiment, vous viendrez à moi et dans un élan de fornication, nous établirons notre union ! Cela vous sied-il gentil seigneur ?"

Elle ondulait sur le sceptre, dardant encore l'homme entre ces cils, souriant, maligne et sensuelle. Il la regardait, pantois, la bouche sèche, ressentant son pouvoir érotique. Il se défit de ses braies pour empoigner sa ...