La maitresse
Datte: 17/07/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: LH, Source: Hds
Mon fils a une maitresse et il faut reconnaitre qu’elle possède quelques atouts et notamment un cul auquel je rendrais bien visite.
J’avais eu l’occasion de la rencontrer il y a quelques temps pour lui faire part de choses très personnelles sur mon fiston, informations qui pouvaient être importantes pour elle dans son rôle d’enseignant mais qui n’avaient pas à sortir du cadre de l’école et j’avais conclu l’entretien en lui disant que je comptais sur son entière discrétion. Après m’avoir rassuré, nous nous serrâmes la main et j’en profitais pour lorgner dans son décolleté en me disant qu’il n'y avait pas qu’à son derrière que j’aimerais présenter mes salutations.
Hors dernièrement, quelle ne fut pas ma surprise, en discutant avec une maman à la sortie de l’école de l’entendre me dire qu’avec l’épreuve que mon enfant avait subi, ce devait être difficile pour lui de se reconstruire. Je lui demandais comment elle était au courant de cela et je senti une gêne s’emparer d’elle. Elle bafouilla de vagues excuses et profita de la cohue provoquée par la sortie des classes pour prendre la poudre d’escampette.
J’étais furieux. Il ne faisait aucun doute que la maitresse, en plus d’avoir un joli cul, avait la langue bien pendue. Je récupérais mon fils et lui demandais de jouer dans la cour avec ses copains le temps que je puisse parler à sa maitresse. Il ne se fit pas prier et je montais les escaliers 2 par 2 afin de demander des comptes à cette institutrice un peu trop ...
... pipelette.
Je frappe à la porte de la classe et entre. Personne. J’appelle et une voix dans la pièce d’à côté m’invite à la rejoindre. La maitresse était dans une petite pièce attenante à la classe, assise à un bureau, visiblement en train de préparer une leçon pour le lendemain. Je lui fit part immédiatement de la raison de ma présence dans sa classe ainsi que de mon mécontentement.
Comment, alors que je lui avait demandé de la discrétion, ces histoires sur mon fils étaient-elles sur la place publique ? Qu’en était-il du devoir de réserve dont elle m’avait tant parlé. Je commençais à hausser un peu le ton et dans l’emballement, j’ajoutais que j’allais être obligé d’en informer sa hiérarchie.
A ces mots, je l’ai sentie se liquéfier. Elle est devenue extrêmement pale et s’est mise à bredouiller quelques excuses. Je lui dit que je me contrefoutais de ses excuses, que son comportement était inadmissible et méritait une sanction disciplinaire.
- Excusez-moi, vraiment, je suis sincèrement désolée. C’est vrai je suis une incorrigible bavarde mais ne dites rien à ma directrice, s’il vous plait. Je suis sur le point d’être titularisée et ces révélations pourraient mettre fin à ma carrière. J’aime mon métier et j’en ai besoin pour vivre, s’il vous plait, ne dites rien, je ferai ce que vous voudrez.
Face au spectacle de cette pauvre enseignante à deux doigts de fondre en larme, j’étais sur le point de me laisser amadouer et de passer l’éponge lorsque sa dernière phrase résonna en ...