1. De la routine à l'aventure


    Datte: 16/07/2025, Catégories: fh, fhh, extraoffre, hotel, anniversai, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe échange, attache, yeuxbandés, confession, totalsexe, Auteur: Un, deux, trois, Source: Revebebe

    ... recracher dans un mouchoir, et puis le garder, et puis l’avaler.
    
    Cela me manque. C’est fou, non ? Comment peut-on avoir envie de se faire inonder la gorge avec ce liquide ? Pourtant j’aimais voir son regard qui chavirait, entendre ses gémissements si surprenants chez un homme alors que je le faisais jouir, son sexe dans ma bouche, une main qui enveloppait ses bourses et qui les pressait comme des fruits bien mûrs, un doigt parfois glissé dans son anus !
    
    Coquine. Reconnais que tu aimes ça ! Quand je pense comme tu étais inexpérimentée avant. Il me disait parfois.
    
    C’est vrai que tu m’as tout appris. Tu as fait de moi une coquine et j’aime cela. Regarde comme c’est bon.
    
    Je le provoquais alors, recueillant d’un doigt vicieux ce que mes lèvres avaient laissé suinter, le suçant avec un regard pervers et venant l’embrasser à pleine bouche pour partager sa liqueur.
    
    Au début, il n’appréciait pas. C’est tout le paradoxe des hommes. Ils veulent juter dans votre gorge mais refusent de goûter à leur semence. Il a bien été obligé de s’y faire. Je ne sais si comme moi il s’est mis à aimer ça ?
    
    Celui que je suce n’est pas mon mari. Depuis qu’il m’a quittée, combien de sexe ai-je pris en bouche ? Il suffirait que je compte le nombre de rendez-vous car aucun n’a refusé que je le pompe.
    
    Pascal gémit. Lorsque je lève les yeux, je vois qu’il regarde vers la porte. Pourtant, on ne voit rien. Je me sens défiée. Comment peut-il penser à sa femme dans un moment pareil ? C’est ...
    ... presque insultant.
    
    Je m’applique. Je bloque ma respiration et descends, descends… Deux, trois secondes et je remonte. Encore. À un infime changement, je sais qu’il est revenu vers moi.
    
    Tu es à moi. Je vais te montrer que tu n’as pas besoin de ta femme. Moi, je te suffis.
    
    Le grand jeu. Oh que oui ! Cela fait des mois que je n’ai pas goûté au foutre d’un homme. Plaisir refusé par sécurité, mais toi et ta charmante épouse, voyeuse perverse, vous avez proposé une rencontre sans limite, des tests garantissant la sécurité de chacun. Bien sûr que je suis négative. Malgré des envies, ma raison a toujours eu le dessus et le préservatif a été mon compagnon, le fournissant moi-même, ne lésinant pas sur la qualité même au risque d’en perdre un peu de sensibilité.
    
    Au départ d’Agnès, le mari m’avait montré le sien. Échange de politesse permettant des échanges plus libérés. Et je vais te libérer.
    
    Tu me regardes maintenant !
    
    Je mets dans mon regard tout le vice dont je suis capable.
    
    Il bande encore. C’est comme la dernière fois, Pascal est capable de continuer sans coup férir.
    
    Je le regarde. Mais son regard est ailleurs. En le suivant, je constate que sa femme est entrée dans la chambre. Elle est encore dans la pénombre, mais on peut la voir. J’ai même l’impression qu’elle sourit. Pourtant je ne vois pas son visage, peut-être juste le rouge carmin de ses lèvres.
    
    Pendant que je la regarde, son mari bouge. Il m’aide à me relever et le baiser qu’il me propose est encore ...
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