1. Quand un et une font quatre


    Datte: 16/07/2025, Catégories: fh, 2couples, couplus, extracon, extraoffre, cocus, candaul, nympho, collection, hsoumis, fdomine, jalousie, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, pénétratio, confession, libercoup, Auteur: Hall Kee, Source: Revebebe

    ... m’étais retrouvée dans l’ascenseur avec Irina. Mes regards avaient été attirés par son tee-shirt, sous lequel pointaient ses seins, pleins, mais apparemment fermes et libres de toutes contraintes.
    
    Quand je lui dis qu’Inès était allée passer le week-end chez ses parents, Irina sembla ne pas faire cas de l’info, mais, une demi-heure plus tard, elle se présenta à ma porte, une bouteille de champagne à la main, pour un apéritif de célibataires, car, me dit-elle, Alban était allé passer la soirée chez des potes, sans espoir de retour avant la fin de la nuit…
    
    Agréablement surpris, je débouchai la bouteille et nous servis deux verres au salon. Un quart d’heure plus tard, mon portable sonna. C’était Inès… Elle avait raccompagné un voisin de ses parents, et bon… comme il semblait avoir de belles manières et de bonnes intentions à son égard, elle était allée coucher chez et avec lui, avec, de toute évidence, un grand plaisir, qu’elle tint à me montrer en s’interrompant pour lâcher un long feulement qui se termina en un cri sauvage.
    
    Hagard, et suspendu à mon téléphone, je vis Irina se lever, passer devant moi et se diriger vers le fond de l’appartement, en m’adressant un regard mystérieux.
    
    Après avoir écouté le cri d’Inès, je raccrochai sans rien rajouter, convaincu que, bien « occupée » par son vieil amant, elle ne m’écoutait plus…
    
    Bon, Irina ne revenait pas… Elle avait le droit d’aller se laver les mains, mais… ne la voyant pas revenir, intrigué, j’allai à mon tour ...
    ... dans le couloir. En passant devant la porte ouverte de la chambre à coucher, je vis, dans l’obscurité, que la couette présentait un relief saugrenu, et l’évidence s’imposa à moi : Irina était dans mon lit, dans mes draps !
    
    Une faible lueur me révéla son sourire mutin qui dépassait de la couette, et je me déshabillai promptement pour me glisser, moi aussi, sous la couette. Mon bras trouva vite la peau d’un bras, d’un sein nu, puis des deux, que ma main caressa doucement, comme pour s’assurer que ce n’était pas un rêve. Je sentis une main se saisir de son sexe, et entendis un soupir approbateur(et rassuré, apparemment satisfait de mon érection). Inimaginable, mais bien réel…
    
    Ce soir-là, cette diablesse d’Irina me chevaucha, me baisa effrontément, ses seins dans mes mains, dans ma bouche, ma queue prise, capturée, avalée par le con de la belle déchaînée. Enfin, dans un souffle rauque, elle cria son plaisir pour m’inviter à cracher le mien dans son ventre.
    
    Avant de rentrer chez elle, Irina me demanda si j’étais au courant qu’Alban et Inès étaient amants depuis quelques mois, et s’étonna que je ne le sois pas…
    
    Une quinzaine de jours plus tard, Alban nous invita à déjeuner le dimanche suivant. Le jour dit, pendant tout le repas, les deux amants feignirent n’être que de simples voisins, pendant qu’Irina et moi faisions de même.
    
    Après le café, Irina me proposa de l’aider à faire la vaisselle. En me retournant, je voyais, par-dessus les épaules d’Irina, nos conjoints qui ...
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