1. Une fille qui aimait ça


    Datte: 15/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jpj, Source: Hds

    Elle m’avait dit, ce soir tu pourras rester chez moi vu qu’il est bien tard pour retourner en ta lointaine banlieue.
    
    Et je ne me suis pas du tout méfié.
    
    Elle a dit aussi, va passe à la douche, tu seras beaucoup mieux après, bien propre.
    
    Là encore je ne me suis pas méfié, je ne suis pas bien malin.
    
    Et quand j’ai vu qu’il n’y avait dans cet appart parisien, son appart, qu’un seul lit, là j’aurais dû vraiment me méfier. Surtout que c’était un grand lit bien large du genre king size. Avec néanmoins qu’un seul oreiller … sorte de signe extérieur indicateur.
    
    Elle m’a dit, je suppose que tu n’as pas apporté de pyjama. Cela tombe bien car dans mon lit les gars ne portent jamais de pyjama. D’ailleurs dans mon lit jamais personne ne porte quoique ce soit.
    
    Mon lit est en quelque sorte zone naturiste en laquelle tout le monde vaque toujours tout nu. Enfin surtout la nuit. Du moins quand je suis là. Et dans mon lit moi aussi moi surtout suis toute nue.
    
    Alors j’ai compris que j’eusse dû préalablement me méfier. Mais là c’était un peu tard.
    
    Quand je suis sorti de la douche bien étrillé la serviette en pagne j’ai vu qu’elle m’attendait couette sous le menton avec un grand sourire de connivence dans le lit queensize géant.
    
    Elle a dit, ce qui est sympa entre copains c’est de contacter les corps les peaux. Pour dormir c’est bien mieux. C’est bien plus sympa.
    
    Je me disais copains tu parles … avec cette fille-là, ça va probablement finir en partie de sexe ...
    ... débridée.
    
    Mais non.
    
    C’était une fille surtout intéressée par la tendresse.
    
    Alors je me suis coulé dans le lit tout contre elle. Elle était toute nue, je l’étais aussi. Elle était chaude, j’étais un peu mouillé, mal séché.
    
    Elle avait ouvert ses bras et m’a serré. C’était bon.
    
    Je sentais ses seins contre mon thoraxSa tête était dans mon cou bouche humide et chaudeSes jambes ses cuisses s’emmêlaient aux miennesSes pieds me faisaient caresses de plantes douces.
    
    Cette fille était toute de tendresse.
    
    Par inadvertance sa main gauche a saisi la hampe de mon bitos.
    
    Comme en concordance sa main droite a empaumé mes roupes en leur sac strié contracté.
    
    Cette fille ronronnait comme chatte prude chaste en petit paradis
    
    Son ventre serrait ma cuisse et l’épaisse toison frottait, trempée des sucs de ses émois, glissant sur ma peau.
    
    J’avais parfaite conscience des ourlés de ses lèvres ouvertes qui cherchaient, qui me cherchaient.
    
    Elle faisait sa timide et se croquemitouflait dans mes bras, cuisses hautes, sourire doucement engageant.
    
    Moi, je pensais, si c’est cela que l’on appelle sexfriend alors je suis partant.
    
    Ses deux mains à ma bite se sont activées. L’une retroussant le prépuce pour dégager totalement le gland, l’autre filant sur le périnée pour visiter les villosités du cul d’un majeur autoritaire.
    
    Le pouce passait et repassait sur le méat en caresse légère et bienveillante tandis que par ailleurs mon rectum était sévèrement violé en profondeur d’un ...
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