1. Le coup de foudre


    Datte: 14/07/2025, Catégories: fh, ff, hplusag, fplusag, frousses, extracon, Collègues / Travail hotel, amour, odeurs, 69, init, rencontre, occasion, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... mais j’ai découvert que tu me troubles beaucoup, J’ai envie de te caresser, de te réconforter, un peu comme la poupée que je n’ai jamais eue. C’est plus fort que moi.
    — J’ai beaucoup aimé comme tu m’as réconfortée, mais je ne suis pas attirée en principe par les femmes.
    — Dommage, je respecte ton choix.
    
    Le deuxième mois se termine et l’absence de Jéromir se fait sentir de plus en plus fort. Surtout quand j’entends que Lina se donne un petit plaisir solitaire. D’entendre son souffle rauque alors qu’elle s’adonne à la pratique d’Onan3, je n’y suis pas habituée et cela me trouble de plus en plus, le souvenir du plaisir que j’avais avec Jéromir devient de plus en plus difficile à contenir. J’ai tendance après le travail à plonger dans la neurasthénie.
    
    Voyant cela, un soir où j’ai particulièrement le bourdon, Lina s’approche de ma couche et me dit :
    
    — Je te vois triste comme un jour sans pain, laisse-toi aimer, tu verras, cela ira mieux après.
    — Mais, je suis mariée et j’aime mon mari.
    — Avec une femme, il paraît que cela ne compte pas. Ce n’est pas comme si c’était avec un homme. Même, il paraît que certains en sont très excités, laisse-moi m’occuper de toi.
    
    Je réfléchis à cette proposition : quel effet cela aura-t-il sur le futur de la relation avec mon mari ? C’est vrai que si je ne dis rien, il n’en saura jamais rien, donc il n’en souffrira pas, et d’autre part, les papillons dans mon bas-ventre s’agitent de plus en plus.
    
    Et si l’équipage réalise que nous ...
    ... sommes deux gouines ? Je me souviens que je n’étais pas spécialement silencieuse quand Jéromir me faisait visiter les étoiles. Finalement, pourquoi ne pas mettre un bâillon pour étouffer le bruit ?
    
    Je lui fais part de mes réflexions. Elle n’y voit pas de problème… elle veut bien me mettre par moment un mouchoir dans la bouche si elle constate qu’il y a trop de bruits explicites, et autrement, si je suis occupée à lui rendre la pareille, ce sera elle qui aura le bâillon.
    
    — Mais, je suis absolument débutante dans ce genre de relations.
    — Ne t’en fais pas, ma belle, tu verras qu’entre femmes c’est assez différent, tout en douceur et en caresses. Tu constateras par toi-même que si deux doigts ne remplacent pas quelque chose de plus consistant, le plaisir est là aussi, et comme dit le proverbe : à défaut de grives, on cuisine des merles.
    
    Je me pousse au fond de ma couchette pour l’inviter et tout de suite, je sens sa bouche prendre possession de la mienne. Elle est douée pour les baisers, c’est doux, suave, très agréable, pas pressé du tout. Ses caresses sur ma poitrine réveillent ma minette qui a envie de plus.
    
    Comme promis, elle me met deux doigts qui s’agitent comme de beaux diables dans ma coquille coquine. Après une jouissance libératrice, à mon tour, je caresse son torse, j’ai l’impression qu’elle a moins de seins que mon Jéromir, mais en descendant, je constate qu’en bas, c’est bien comme moi. Il y manque cet épieu qui nous fait tant frémir.
    
    Alors que nous ...
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