La Campagne Municipale - Histoires de Sexe

La Campagne Municipale

... cette pratique. Ainsi prise en sandwich je criais mon plaisir ce qui encourageait les deux vicelards à me défoncer encore plus fort. Ils finirent par éjaculer en même temps remplissant mes trous de leur jus me donnant un ultime orgasme.

- C'était vraiment trop bon. Tu es toujours trop belle et bonne ma chérie.

- Elle habite ici maintenant alors n'hésite pas si tu veux venir culbuter cette bombe c'est quand tu veux. Pas vrai Adèle?

- Oui venez me prendre par tous les trous quand vous voulez.

Les jours suivants je les passais donc au travail la journée et les soirs chez Carlos. Il me prenait tous les soirs et Atif passait régulièrement lui aussi. En effet je prenais gout à cette vie de débauche avec mon nouvel amant officiel.

Les deux samedis suivants je donnais toujours mes cours à Didier avec des tenues toujours aussi sexy. Ses regards devenaient de plus en plus insistants et je pu remarquais une érection dans son short a un moment. Il paraissait gêné que je m'en aperçoive. Je mangeais toujours avec toute la famille après le cours et je discutais beaucoup avec les filles. Elles m'appréciaient beaucoup la différence d'âge aidant et je me sentais vraiment à l'aise dans cette famille.

C'est le troisième samedi que tout s'accéléra, en effet Les filles étaient chez leur grand-mère maternelle et je me retrouvais donc seule avec Didier pour le cours. Tout se passait normalement mais durant un exercice je trébuchais, il me rattrapa in extremis dans ses bras. Ainsi ...

... tout contre lui nos regards se sont figés l'un dans l'autre et profitant de ce moment suspendu, j'approchais mon visage du sien pour l'embrasser tendrement. Il se laissa aller et ce baiser dura un bon moment mes bras autour de son cou. Il reprit cependant ses esprits dans un moment de lucidité.

- Désolé je ne sais pas ce qui m'a pris

- Ce n'est rien Didier ce baiser était divin

- C'est vrai mais je ne peux pas, vous pourriez être ma fille

- L'âge n'est qu'un nombre et c'est vrai que j'ai une certaine attirance pour vous.

- Je dois bien admettre que moi aussi. Vous êtes magnifique Adèle.

- Merci vous êtes très beau aussi et j'aime tout ce que vous faites ainsi que votre famille.

- Je ne peux pas désoler veuillez m'excuser.

Abattue et sachant que j'avais peut-être précipité les choses je retournais penaude jusqu'à la villa de Carlos redoutant sa réaction à la suite de cet échec. En effet Carlos était en rage quand je lui résumais la journée.

- Tu es vraiment trop bête. Tu es en train de nous mettre tous dans la merde petite conne.

- Je suis vraiment désolé je pensais vraiment bien faire.

Une grande gifle me fit valdinguer au sol ce qui me fit fondre en larmes. Sans me laisser de répit il me releva me mit à quatre pattes, déchira mon short et envoya une énorme fessée sur mon cul.

- Ce soir je te fou dans la rue salope. Tu vas faire le trottoir toute la nuit ça t'apprendras à être aussi conne.

Tout en disant cela il envoyait fessée sur fessée ...