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Les gondoles de Landerneau
Datte: 12/07/2025, Catégories: f, ffh, fbi, magasin, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme jeu, init, historique, délire, Humour Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... chavire… Je suis la gondole mal menée et malmenée par ses gondoliers. J’aurais pu tanguer un peu, chalouper un brin, naviguer un moment. Mais non. Je chavire ! Je ne flotte plus. Je coule. Et je coule sur mes cuisses, en attendant d’être une gondole échouée. Ce n’est pas vraiment de ma faute en fait. Mon cul s’est cambré de lui-même vers la main masculine qui le caressait et quand les doigts féminins ont pincé mon téton gauche… J’ai craqué ! Oh que j’adore ça avoir les tétons pincés ! Surtout le gauche. Je suis faible ! Aucune volonté. Une épave de gondole que je suis… — Ooh… Non ! Non ! Ooh, je jouis ! Je jouis ! — Ooh… Continue ma belle… Pince-le bien ! — Assez ! S’il vous plaît… C’est Lui qui soupèse mes seins tandis qu’Elle caresse mon ventre nu. Elle va oser. Oh bon sang ! Elle va oser ! — On va se faire prendre et… — T’aimes ça, hein, Juliette ! Je vais sortir ma queue ! Je vais te baiser, ma belle. Je m’affole. Penchée en avant, leurs corps chauffant le mien et me faisant suer. Je perds pied. Visage sur mon avant-bras et les mains agrippées à du bois de palette. Ma robe ouverte ne couvrant plus que mes épaules et le haut de mon dos. Cambrée et offerte… — Ooh ! Oooh ! Mais ce n’est pas possible ! C’est… Comment ? Comment ils ont pu… en même temps ! Pas besoin de chronomètre ! Ils m’ont prise en même temps. Elle a lancé sa main vers ma fente détrempée et l’a prise. Il m’a sodomisé des doigts d’un coup. J’ai eu l’impression que ma grotte ...
... aspirait des doigts pendant que mon petit trou était brusquement dévasté. Une sorte de stéréophonie corporelle sensitive. Bon, il y avait aussi mes gémissements, leurs halètements, nos souffles oppressés. Ce n’était pas le lac des cygnes non plus. C’était plutôt une stéréo de sensations. Douceur dans ma petite chatte trempée et brûlure sur mon œillet froissé. — Oh oui… Oui… Oui… Je me tords en mordant ma main pour ne pas crier. Je me suis affalée contre les palettes, jambes ouvertes et cul tendu. J’ai joui sous ces doigts en moi. C’est le plus fort de mes orgasmes. Et il ne veut pas mourir. La jouissance me vrille le ventre tandis que leurs doigts me fouillent toujours. — Oh… Oui… Oh, c’est bon… Des mots lâchés à voix basse. Mes dents sur ma peau pour les étouffer. Je suis totalement investie. Et puis… Le membre de Lui. Un sexe dur dans les pantalons se frotte à ma fesse et je m’affole cette fois pour d’autres raisons. C’est la rame de mon gondolier ! Je vais quitter le quai ! Gondoliiiier ! — Non ! C’est… Ooh… Arrêtez ! Arrê… Aah… Ooh, je… Mais… Ils m’ont obéi ! Oh les cons ! J’en serai presque à les supplier qu’ils me reprennent, mais ils m’ont relâchée. Pour cette aventure virtuelle, ces deux-là ont certainement choisi des avatars avantageux. Ils seraient bien bêtes de ne pas l’avoir fait. Moi, je suis restée, moi. Il me faut un moment pour reprendre mes esprits et me retourner vers eux. Débardeur remonté et jupe relevée, ma lectrice nous montre ses seins. Sa ...