Plaisirs des hauteurs 2
Datte: 12/07/2025,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Bichou, Source: Hds
... de se papouiller. Ils entrent et je me doute de la suite des événements.
Je n’en mène pas large mais je veux savoir.
Je fais le tour du chalet en silence ; pas moyen de voir à l’intérieur.
Au bout d’une demi-heure, je me décide à entrer en douceur. Heureusement, la porte n’est pas fermée et en tournant, ne fais aucun bruit. Je la laisse ouvert afin d’avoir un peu de lumière.
Tout de suite des cris de jouissance se font entendre. Je me déplace dans l’obscurité, me repère. Je suis dans le salon, une porte donne à gauche et une à droite. Une table et quatre chaises et, au bout est située une cuisine américaine.
J’entends des gémissements, des halètements.
J’ouvre doucement la porte de gauche, elle ne fait aucun bruit. La lune frappant les tentures légères me permet de voir dans la pénombre Lucie chevauchant son amant tel un cavalier. Quelques photos (heureusement que j’ai un smartphone récent équipé de la nouvelle technologie de prises de vue), une petite vidéo et je referme doucement la porte.
Je me dirige à présent vers la porte de droite que j’ouvre doucement.
Je crois m’effondrer en voyant Mathilde prise en levrette par ce bellâtre. Il la pénètre violemment et elle crie son bonheur. Je photographie, je filme leurs ébats. Gros plan sur son visage tordu par le plaisir.
Elle se couche sur le ventre. Le voyou la prend maintenant par derrière et la sodomise, ce qu’elle m’a toujours refusé. Elle couine, halète et au bout d’une dizaine de minute ...
... crie sa jouissance. Je ne l’avais jamais entendu crier comme cela avec moi….
Sous le choc de cette vision, je pousse un petit cri d’horreur. L’amant se rend compte de ma présence, se lève et se précipite sur moi.
Pas de chance pour lui : mon sport étant le full-contact et le kick boxing, il reçoit un coup de poing dans le plexus qui lui coupe le souffle. Le coup de pied entre les jambes le terrasse, le faisant crier de douleur. Il ne baisera plus ma femme, ni une autre d’ailleurs avant longtemps ! Mathilde crie de terreur mais n’approche pas de la porte.
Je recule vivement, vers la sortie quand de l’autre chambre sort hirsute mais encore bandant l’autre enfoiré. Un coup de savate sur le nez, qui se met à saigner abondamment, le calme tout de suite. Je termine le travail en lui assénant un coup de genou dans les testicules. Encore un qui va regretter de baiser la femme des autres ! Il chute sur Lucie apparue derrière lui en hurlant.
Je m’éclipse immédiatement sous les cris des femmes qui, nues, ne me poursuivent pas.
Elles ne m’ont pas reconnu, heureusement. Encore que….
Je repars aussitôt vers Lyon que j’atteins sans encombre vers 6H00 le matin, la colère m’ayant maintenu complètement éveillé.
Arrivé chez moi, je m’écroule sur le sofa ; la colère fait maintenant place à la tristesse et au chagrin et je pleure toutes les larmes de mon corps. Je suis complètement anéanti. Je ne comprends pas.
Je finis par m’endormir sous l’effet de la fatigue.