1. PHILIPPE EP 48 La famille s’agrandit ou Philippe accouche


    Datte: 11/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Charly Chast, Source: Hds

    ... je frémissais. Je tremblais quand il a commencé à pousser, j'ai d'abord serré les fesses, histoire de rigoler. Il a compris, il m'a donner un baiser dans le cou et à poussé, j'ai résisté, il a poussé plus fort et j'ai craqué, j'ai lâché. Sa queue s'est enfoncé d'un coup dans mon cul, son ventre s'est écrasé sur mes fesses et j'ai hurlé.
    
    Soudainement il ne bougeai plus. Il me demandais : '' Ça va ? ''. Je faisais oui de la tête, il prenait le temps de me laisser encaisser puis il reprenait il se retirait et revenait. Dans un premier temps ses mouvements étaient lents, fermes et décidés mais lents. Ils devenaient plus rapides, et encore plus rapide.
    
    J'avais envie de me faire défoncer le cul, et c'est ce qu'il m'a offert. Il m'a défoncé le cul, je râlais de plaisir, je gueulais et par moment je hurlais même. Et lui entrait et ressortait de mon cul, plus je criais, plus il y allait.
    
    Je jouissais, je jouissais comme un fou, pas avec ma queue mais avec mon cul. Le plaisir peut devenir aussi intense mais il dure plus longtemps, bien plus longtemps. En fait je trouvais ce plaisir de plus en plus agréable et peu à peu j'oubliais le plaisir que me donnait ma queue seule.
    
    Il a fini par se retirer, je tremblais de plaisir, il avait éjaculé et c'est à ce moment que moi j'éjaculais. Et j'ai joui à ce moment. J'ai joui comme un fou.
    
    C'est à cette époque que j'ai commencé à oublié mon propre sexe dans les relations sexuelles. Je vous rassure, le reste du temps j'y pensais ...
    ... souvent. Le matin au réveil, sous la douche et par moment aussi dans la journée.
    
    Quand je prenais la douche à la fac après le sport, je bandais fermer mais avec la cage personne ne s'en rendait compte. Je me demandais souvent si mes camarades étaient dans le même état que moi. Pour quelques uns oui ! On discutait de temps en temps entre camarades.
    
    …
    
    On devait être en cours de biologie, je ne sais plus de quoi il s'agissait quand le directeur de la fac entrait sans prévenir dans la salle de cours, il y avait le chauffeur de mon père juste derrière lui.
    
    – Monsieur Brosso, votre famille vous demande tout de suite !
    
    Mon sang s'est glacé dans mes veines. Il se passait quelque chose de grave. Avec des gestes incertains j'allais ramasser mes notes et mon livre.
    
    – Laissez tout, Monsieur Brosso, laissez tout on s'occupera de ramasser vos affaires, c'est urgent.
    
    Je comprenait tout mon père avait eu une attaque ou quelque chose comme ça. Sans poser de question je fonçais et sans qu'il comprenne ce qui se passait le chauffeur courait derrière moi pour rejoindre la voiture.
    
    – Oh mon dieu, oh mon dieu … Marmonnais-je. Là je vous jure que je m'angoissais. Je pensais à mon père ou à ma mère.
    
    – Mais attendez moi Monsieur Brosso, il n'y a aucune raison de paniquer ! Me lançait le chauffeur.
    
    – Que se passe-t-il c'est mon père, c'est ma mère ?
    
    – Mais aucun des deux, Monsieur Brosso, vos parents vont très bien c'est votre femme !
    
    Je m'arrêtais net et je me ...
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