1. COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (146)


    Datte: 11/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    C’est dans l’hôpital de Brie en région parisienne qu’il y a quelques jours, je me suis réveillée d’une longue sieste ayant duré cinq ans.
    
    C’est au dire de Virginie m’ayant été présenté comme ma marraine comme prostituée que j’apprends que j’ai été victime d’un attentat à Moscou où j’étais venue monnayer la vertu de Katia.
    
    Lorsque je dis que j’ai été victime d’un attentat, il était dirigé contre celui qu’elles m’ont présenté comme mon amant ayant fait barrage de son corps pour m’éviter de prendre la rafale en plein corps.
    
    Il a en partie réussie, sauf une balle m’ayant atteint à la tête m’emportant une partie de mon cuir chevelu.
    
    À leur dire, je suis tombée dans le coma et l’on m’a conduit à l’hôpital de Moscou où l’on m’a considéré comme perdue.
    
    Mon cerveau étant à nu, les médecins moscovites m’ont posé une plaque de métal que je sens lorsque j’y passe mes doigts.
    
    Virginie m’a parlé de l’institut qu’elle dirige et ou j’aurais commencé à me prostituer après avoir quitté mon mari et ou je m’étais gouinée avec elle.
    
    Flots d’informations, déversées sur mon cerveau malade, si je m’écoutais toutes les deux phrases je les interromprais pour qu’ils m’expliquent certaines choses ou certains mots.
    
    Maintenant, j’écoute, mon cerveau fonctionnant parfaitement depuis mon réveil, avant de poser une question si je décroche trop longtemps dans nos conversations.
    
    Je vais vous surprendre, c’est par cette méthode que j’ai progressé sur le mot gouine.
    
    Dans le ...
    ... chapitre précédent, je vous ai dit avoir retrouvé le plaisir de me caresser, a-t-elle point que j’ai crié lorsque mes doigts ont trouvé une petite boule dont j’ignorais encore le nom à ce moment-là.
    
    Corinne, la jeune femme de service la nuit dernière, passait dans le couloir et est entrée alors que j’étais nue sur mon lit.
    
    J’étais en eau et elle s’est approchée, m’a caressé avec ses doigts.
    
    Dans ce centre de rééducation, ces femmes de service de nuit sont beaucoup moins sollicitées par les patients et ont plus de temps ou elles peuvent discuter avec nous.
    
    Discuter, c’est un grand mot, car sa bouche est venue sur ma fente me léchant pour mon plus grand plaisir avec une tierce personne.
    
    • Christine, j’adore ton clitoris, je suis lesbienne, on dit aussi gouine et j’adore sucer les sexes féminins.
    
    Voilà comment j’apprends que nous les femmes avons des clitos ou clitoris et que deux femmes faisant certaines choses ensemble sont des lesbiennes ou encore terme que j’aie déjà entendu, des gouines.
    
    • Comment as-tu su que tu étais lesbienne ?
    
    • J’avais vingt ans, un peu tard à notre époque pour perdre mon pucelage, la plupart de mes copines l’ont perdu vers seize ans.
    
    Certaines plus en avance vers quatorze ou quinze ans l’ont perdu avec un copain de bahut de leur âge.
    
    Bahut, je pourrais l’arrêter après qu’elle m’est fait jouir, mais mes doigts dans son vagin, commence à lui faire de l’effet.
    
    Virginie m’a dit que j’avais des clientes femmes lorsque je me ...
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