1. Purification


    Datte: 10/07/2025, Catégories: ff, fff, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, intermast, lavement, fouetfesse, aventure, lesbos, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... partenaire et de toute façon, même protégée, elle patientera au moins une journée entière.
    
    Cassandra est éberluée par ces explications : capote, stérilet, pilule ! En fait de sauvages, réalise-t-elle, ils sont sacrément modernes les Pilvajõ ! Elle est aussi quelque peu rassurée : l’idée de se faire remplir le vagin de sperme ne la réjouissait pas, loin de là : «Ma foune n’est pas un silo à foutre » !
    
    — En l’occurrence, si toi-même, tu n’as pas de protection, le chef ne te fécondera pas, pas question de faire courir le risque d’une grossesse à une étrangère ! Et tu peux éventuellement l’obliger à porter une capote, mais sache que nous sommes tous sains, exempts de MST, et Covid aussi d’ailleurs, et nous sommes testés régulièrement par notre sorcier-docteur.
    — Je prends la pilule, donc pas de problème. Mais j’avoue que vos usages me sidèrent : pour des sauvages présentés comme brutaux et même pire, vous êtes vachement civilisés !
    
    Après toutes ces explications, le temps a passé et il se fait faim. Mère et fille proposent de déjeuner. Au menu, diverses salades mêlées originales et des morceaux de volailles rôties.
    
    — Waouh ! Il est délicieux votre poulet !
    — En fait, c’est du hocco mitu, un gallinacé local que nous élevons en volière.
    
    Cassandra mange de bon appétit des mets passablement épicés qui l’altèrent. Elle boit régulièrement de longues rasades de la boisson locale dont le goût est à la fois sucré et acidulé.
    
    — Normalement, les repas se prennent en ...
    ... commun sur l’agora ou dans la case commune. Mais tant que tu n’as pas passé ta présentation…
    — Bon, lâche Dilma à la fin du repas, passons aux choses sérieuses. Il faut te préparer pour la fête. Déshabille-toi !
    
    Un instant figée par cet ordre, Cassandra s’exécute lentement. Pour une raison qu’elle-même ne s’explique pas, se dévêtir devant la mère de l’Amérindienne la gêne. Sans doute parce que celle-ci, de toute évidence, est européenne. Elle quitte son t-shirt et son short, mais se détourne pour enlever slip et soutien-gorge avant, rougissante, de se retourner à nouveau et d’exposer sa pleine nudité. Si elle ne se raisonnait pas, elle userait de ses mains pour cacher son sexe et ses seins.
    
    Cassandra est alors installée sur une sorte de table étroite couverte de linges. Elle est allongée, fesses au bord du plateau, jambes pendantes. Surprise, elle voit Dilma tenant ce qu’elle reconnaît être une grosse poire de lavement terminée par une longue canule effilée. Elle n’a pas le temps de se récrier que l’indigène lui fourre la canule dans le sexe et injecte puissamment un liquide tiédasse. Cassandra se sent confuse en sentant cette eau s’échapper de son vagin et s’écouler entre ses jambes. Pisser devant témoin n’a jamais été de ses fantasmes et c’est bien ce qu’elle a l’impression de faire à ce moment-là. Déjà, une autre poire pleine remplace la première et le même flot irrésistible s’épanche dans son sexe et inonde ses cuisses. Pas le temps de s’appesantir, mère et fille l’ont ...
«12...789...»