1. Purification


    Datte: 10/07/2025, Catégories: ff, fff, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, caresses, intermast, lavement, fouetfesse, aventure, lesbos, Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe

    ... confortables matelas, quelquespuki-puki-banna avaient fait tanguer l’embarcation.
    
    (NDLA : l’adjonction du verbe « banna » n’est ici pas obligatoire, doubler puki serait suffisamment explicite. Peut-être, pour être précis, devrait-on d’ailleurs parler de puki-puki-puki en l’occurrence…).
    
    Quand ils avaient récupéré l’embarcation des filles et transbordé quelques ballots pour répartir les charges, Cassandra était passée sur la pirogue Pilvajõ avec Arranda qui avait pris la barre. Sur celle de Diego, Dilma aussi avait pris la barre, mais pas celle du bateau ! Elle avait eu à cœur de soulager sonprofessor des surtensions générées par les spectacles saphiques auxquels il avait assisté sans pouvoir y mettre le holà.
    
    Cassandra en avait conçu une forme de jalousie, non qu’elle ne soit pas partageuse, mais juste parce qu’elle aurait préféré être à la place de Dilma. Toujours compétitrice, elle avait observé les efforts de l’Indienne, un peu trop vive et acharnée à son goût, et noté, que lors d’un tangage, la jeune femme avait hoqueté plusieurs fois sous l’intrusion brutale de la bite au fond de sa gorge. Le sourire complice de Diego lui avait confirmé qu’elle menait toujours aux points. Et que Dilma se retire lors du jaillissement du foutre lui avait confirmé sa victoire aux points !
    
    Mis à part cet intermède, la navigation avait été paisible jusqu’au terme où le quatuor avait commencé à vider les canots.
    
    — Votre village est encore loin d’ici ? demande Cassandra qui, ...
    ... inquiète, regarde alternativement l’amoncellement de ballots déposés sur la rive et l’impénétrable forêt.
    — Un quart d’heure de marche normalement, alors disons une petite demi-heure avec toi, lui avoue Arranda, mais t’inquiète, tu n’auras pas à porter. Les hommes arrivent.
    — Mais comment savent-ils que nous…
    — T’inquiète, j’te dis, la coupe l’Indienne, ils savent !
    
    Intriguée, Cassandra réfléchit et, se souvenant du concert de percussions offert un peu plus tôt par les jeunes Indiennes, elle comprend que ces martèlements rythmés sur les canots n’étaient sans doute pas juste une exubérance joyeuse, mais une forme de langage morse, à l’instar des tam-tams africains.
    
    De fait, quelques instants plus tard, surgit un groupe d’une douzaine d’hommes. D’abord muets et figés, les autochtones forment un demi-cercle et détaillent l’étrangère avant tout à coup de se mettre à parler tous ensemble. Joyeuse cacophonie ! Visiblement réjouis de ce qu’ils voient, ils baragouinent bruyamment, se poussent du coude ou se donnent des coups d’épaules. Un bel enthousiasme qui ne ravit qu’à moitié la jeune femme qui discerne parfaitement des soulèvements intempestifs de pagnes ! Ces hommes portent en effet des tenues identiques à celles des cousines, moins efficaces en l’occurrence à masquer leurs virilités… en cours de redressement accéléré ! L’Européenne est bien heureuse en tout cas d’avoir un peu plus tôt renfilé un short en jean, mis un soutien-gorge et passé un ample t-shirt bleu marine. ...
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