Douceur feminine
Datte: 08/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: linsee, Source: Hds
... yeux. Les mains fines de la masseuse
qui glissent délicatement sur les épaules, font geindre doucement Isabelle. Valeriane devient plus audacieuse, ses mains, avec délicatesse, passent sur le cou, et s'enfoncent très lentement dans l'ouverture du corsage. Isabelle sursaute, elle sent le bout des doigts se poser sur le haut de ses seins et qui commencent à s'insérer dans son soutien-gorge. Elle se relève, et fait face à Valeriane. Les deux femmes se regardent, Isabelle semble déstabilisée, elle dit en béguant :
-Mais qu'est-ce qui te prend Valeriane ?
Valeriane l'enlace, la regarde droit dans les yeux et lui avoue :
-Je t'aime depuis le premier jour que je t'ai rencontré, je suis dingue de toi, ne me chasse pas, je t'en prie !
Isabelle, surprise par cet aveu, réplique :
-Mais je ne suis pas lesbienne, de là à coucher avec une femme, il y a une marge !
Valeriane avance son visage, les souffles se mêlent, elle murmure :
Je t'aime mon amour, toi, tu ne ressent rien pour moi ?
Isabelle complétement désorientée répond avec des tremolos dans la voix !
-Je n'ai pas dit cela, mais laisse-moi le temps de m'y faire, ne brusque pas les choses, oh, tu me rend folle toi !
Valeriane insiste :
-Alors dis que tu m'aimes aussi !
Isabelle s'effondre en larmes, elle repond entre deux sanglots !
-Ne me torture pas, ...
... c'est déjà assez difficile comme cela !
Valeriane devient exigeante :
-Dis-le, dis-le que toi aussi, tu m'aimes !
Isabelle s'accroche fortement à Valeriane et répond en criant :
-Oui, oui, je t'aime, voila, tu es contente, mais qu'est-ce que j'ai fait au bon Dieu, j'ai l'âge de ta maman !
Valeriane lui relève le menton et lui dit :
-C'est l'amour, Dieu n'y est pour rien, oh que je suis heureuse que tu m'aimes aussi, la différence d'âge ne m'incommode pas, je te la ferai oublier !
Les lèvres se frôlent avant de s'unir. Les langues se nouent, les respirations s'accélèrent. Isabelle en tremblant s'accroche à Valeriane pour ne pas s'écrouler de honte. Le baiser et un vrai baiser d'amour. Enfin, les lèvres se séparent. Isabelle renifle et dit en regardant Valeriane :
-Je dois être folle, j'ai honte de moi et je suis heureuse en même temps !
Valeriane l'embrasse à nouveau, du haut de ses vingt-six ans, elle lui dit :
-Montre-moi ta chambre, mon amour et aimons-nous, jusqu'au petit matin !
C'est en prenant la main de Valeriane qu'Isabelle l'emmène dans son nid. Avec dextérité, les deux femmes se dévêtent en ne se quittant pas des yeux. Isabelle, à de petits seins bien fermes. Valeriane, elle, a une poitrine généreuse, qui pend un peu sur son torse. Isabelle s'étend nue sur son lit, rapidement Valeriane la rejoint.