Eric, Georges… et les autres 2 Partie à trois avec Georges
Datte: 07/07/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... qu’une bite ou un cul passe à proximité, mais pour l’instant nous sommes repus. Nous buvons une bière en fumant un peu. Aucun n’a pensé à se rhabiller et nous sommes les trois, toujours à poil, dans le grand salon.
"Ça vous dirait de se sucer la bite en triangle ? dis-je.
Comment ça ? interroge Eric.
Eh bien, on se couche par terre sur le tapis et on a tous une queue en face de soi, venez! »Georges se couche, je me mets près de lui en biais, la tête près de son sexe, ce qui laisse la place à Eric d’en faire de même avec moi et d’avoir sa bite près du visage de Georges. Pas besoin de beaucoup d'explications, nous trouvons très vite la meilleure façon de nous y prendre. Je suce Georges, je suis sucé par Eric qui est lui-même avalé par Georges. La boucle est bouclée. Les sensations sont géniales et en plus on profite du spectacle. Avec avidité on se bouffe la bite et les couilles, chacun essayant d’être le meilleur pompeur de nœud de ce triangle.
"Fabuleux ! Lance Éric à un moment où il reprend son souffle, c’est génial ! On change ? » Aussitôt dit, nous tournons sur nous même et maintenant Je suce Eric, qui suce Georges, qui me suce. Alterner deux belles bites, ainsi, est un plaisir extraordinaire et nous ne nous privons pas d’en profiter un ...
... maximum, changeant plusieurs fois de position, suçant les glands, bouffant les testicules, jouant des doigts dans l’anus, trouvant à chaque changement, le goût d’une nouvelle pine et la salive de l’autre qui l’a bien graissée. C’est aussi une nouvelle bouche qui cherche à donner du plaisir. Sans nous concerter, nous retardons la jouissance de l’autre en interrompant nos pompages avant l’échéance, prolongeant ainsi le plaisir. Nous sommes en sueur, mais aucun ne veut arrêter. Il y a plus d’une demi heure que nous jouons avec nos bites respectives et aucun ne veut lâcher, les mains parcourent toutes les parties des corps qui peuvent être atteintes, avec frénésie ou douceur, cela dépend des moments, nous pompons, léchons, suçons, le gland ou la hampe, roulons les bourses entre les doigts, pinçons les tétons. Nous sommes en dehors du temps, perdus dans notre extase, aucun ne se rassasie, au contraire. Nous inventons des caresses, nous délectant de ce morceau de chair dure qui emplit nos bouches et exhale son odeur aux narines. La séance, rythmée par les changements de côté, les gémissements de plaisir ou les pauses pour retrouver le souffle et calmer une envie trop pressante de gicler, pourrait durer des heures, lorsqu’une voix féminine retentit dans la pièce :