1. Yves 3


    Datte: 07/07/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Laurencec, Source: Hds

    ... plein jour. Quel délice de se changer sur son lieu de travail. Troublant, en petite culotte, assise sur le bord de mon siège de bureau, enfilant mes bas avec soin, mes souliers et enfin ma petite jupe, soigner les détails en me regardant dans la grande vitre séparant mon bureau de l'agence. Prête, je taquine à nouveau mon amant qui me répond être sur la route.
    
    Lorsque j’ai vu sa silhouette à la vitrine, il collait les deux mains sur la vitre, cherchant à voir l’intérieur. Un petit signe de la main et il entra. Je m’empressai alors de verrouiller la porte d’entrée avant de l’emmener par la main dans mon bureau. Je posai les fesses sur le plan de travail et me pendis à son cou pour un long baiser langoureux. Il était en forme comme toujours. Il me pétrit les seins grognant qu’il avait envie de moi, ses mains parcoururent mon corps, j’ouvris déjà les cuisses lui permettant de me masser l'entrecuisse. Il eut vite fait de comprendre que j’étais en forme. Je me laissais déjà aller, cambrée, seins tendus, je me frottais à sa bouche gourmande, chemisier quasiment ouvert. Il extirpa mes seins de leurs nids que forment les balconnets de mon soutien-gorge et les tritura, les mordilla. J’étais aux anges, les fesses sur mon bureau, entreprise par mon amant qui, sous peu, allait me baiser avec passion, cette passion que j’aime tant chez lui, le « ho putain, que tu es belle ! », à la vue de mes bas. Sentir ses baisers descendre sur mes jambes, je fondis ! Je me cambrai, le corps en ...
    ... feu, me laissant tomber en arrière et envoyant, dans ce geste, un dossier au sol ! Je m’en fichai et ne me souciai plus de rien si ce n’est de mon plaisir. Toujours cambrée, les fesses sur le bord du bureau, je levai les jambes en V, le laissant se nourrir à ma source. Ses doigts nerveux écartèrent ma petite culotte, puis cette langue brûlante me lapa la chatte… je ne pus me retenir de gémir en lui attrapant les cheveux, l’attirant en moi. Quel bonheur ! Dans un silence de mort, seuls nos gémissements résonnaient dans la pièce, dans l’agence entière, j'imagine. Un, puis deux doigts me fouillèrent, accompagnant sa langue ravageuse. Cambrée, les yeux clos, je me délectai de ses grondements, de son excitation tellement palpable. Je me sentis littéralement transportée au rythme de ses doigts qui s'agitaient en moi telle une belle bite allant et venant. Je lâchai prise, de longs spasmes me transpercèrent le corps, ce salaud me fit jouir sans même me prendre ; il le savait et insistait, me labourant le ventre de ses doigts tout en me mordant la chatte. Des cris m’échappèrent, les doigts agrippés à ses cheveux. Mon corps fit deux ou trois soubresauts incontrôlés, j’eus l’impression de me vider en lui.
    
    Yves a bien compris qu’il m’avait donné un bel orgasme, il relâchait la pression, me laissant respirer un peu sans cesser de me caresser le bas-ventre. Il me taquinait, me disant bien en forme et certainement très en manque ! Je me redressai, ces quelques mots me firent redescendre de ...