1. Les malheurs de Clotilde Ch. 09


    Datte: 06/07/2025, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... sais pas pourquoi il a cette impression.
    
    - Tu me traite de menteur?
    
    Le coup de pied qu'il me donne me fait mal. Mais lui est pied nu, il me fait moins souffrir que Greg.
    
    - Non, non, pardon, ne me bats pas!
    
    - Alors ouvre tes putains de jambes que je te baise!
    
    Vaincu, j'obtempère, je roule sur le dos et écarte les cuisses. Je lâche un sanglot fort quand il se couche sur moi, je hurle quand il pénètre violemment mon vagin si fragile et si martyrisé. Je me débat, mais il est trop fort. Je tente de le repoussé, il attrape mes bras, les replis au-dessus de ma tête, les immobilisant d'une main en les tenant par les poignets.
    
    Il se met à me défoncer comme un sauvage. Il met de la haine dans son viol, bien plus que mes trois autres bourreaux réunis. Il me fait vraiment mal, je hurle comme une folle. Les voisins vont sûrement entendre. J'ai l'impression qu'il lit dans mes pensées quand il me dit :
    
    - Tu peux hurler autant que tu veux, il n'y a plus personne ici. Ils démolissent l'immeuble dans deux mois, je suis le dernier!
    
    Le mince espoir de recevoir de l'aide vient de disparaître. Une violente douleur me traverse le sein droit. Pierre vient de me le mordre, y laissant la trace profonde de ses dents. Il me baise comme un lapin à une vitesse folle, me distendant mon intérieur. Rouvrant mes blessures internes. Je les sens se déchirer sous la puissance de ses coups de reins.
    
    Ne me demandez pas pourquoi, mais tout en subissant ce viol incestueux, je pense que ...
    ... je ne sens plus mon collier de chien que je porte autour du cou. Sûrement une façon trouvée par mon subconscient pour fuir ce viol infernal.
    
    J'ai de la chance, Pierre, sûrement encore puceau, je dis sûrement car je n'en suis plus aussi certaine maintenant, ne dure pas longtemps dans mon corps. Rapidement, entre deux cris, je l'entends ahaner de plaisir, signe annonciateur qu'il ne va pas tarder à éjaculer en moi. Je me mets à prier dans ma tête pour qu'ensuite il me laisse tranquille. Ce viol fait par mon propre frère est sans doute le plus dur à vivre jusque ici. Pierre ne s'en rend pas compte, ou peut-être que si, mais il me traumatise encore plus. Pourtant vous le savez bien, depuis quelques jours, questions traumatismes j'en connais un bout.
    
    Il me pilonne maintenant comme un marteau-piqueur. Ses mains crispés sur mes seins me font mal, tant il enfonce ses ongles longs dans la chair tendre. Mon vagin est en feu, tant, en plus d'aller vite, il y va fort. Mon visage, mon nez, mon corps me brûle, faute aux coups de Greg. Pierre va encore plus vite. Ses grognement augmentent eux aussi de rythme. Il m'embrasse, sa langue s'enfonçant dans ma bouche, dans un baiser incestueux dégoûtant. Ses coups de reins accélèrent encore d'un cran, jamais on ne m'a baiser aussi vite, ni aussi fort. Même pas mes trois violeurs précédents, qui pourtant m'en ont fait voir...
    
    Finalement il cesse son baiser, pour me regarder dans les yeux. Je détourne mon regard pour ne pas voir le visage, ...
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