Ciné Etoile (1)
Datte: 30/07/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: PassifChaud, Source: Hds
La découverte
A mes 17 ans, après l’épreuve du Bac Français, j’avais décidé de travailler une partie de l’été pour me faire un peu d’argent de poche. Mes parents m’avaient dégoté un job dans une banque à Marseille dont le Directeur était le père de notre voisin de palier.
Je prenais donc le train Aix Marseille quotidiennement, empruntant matin et soir, le boulevard Dugommier où se trouvait ce fameux cinéma porno, l’Etoile. Je ne pouvais m’empêcher d’y jeter un coup d’œil discret à chaque fois, fantasmant sur tout ce qui devait se passer dans son antre.
Quelquefois, d’ailleurs, je m’attablais à la terrasse du café à proximité, en sortant de mon travail, pour me rendre compte du genre de clientèle qui le fréquentait. Des femmes un peu bizarres, (des travelos, mais à l’époque, je ne connaissais pas), mais surtout, beaucoup d’arabes et de noirs de tout âge venus se soulager.
A l’internat, j’avais quelquefois branlé et sucé des bites, mais je restais puceau de la rondelle, n’ayant jamais eu le courage de franchir le pas, pourtant, pas faute d’envie.
Mon intérim de l’année précédente s’étant très bien passé, c’est à mes 18 ans, Bac en poche, que je reprenais le train Aix Marseille pour le même renfort, et ce, jusqu’au début septembre, repassant quotidiennement devant ce fameux Ciné.
J’étais majeur, donc mes parents me laissaient davantage de liberté, sachant aussi que j’avais noué quelques amitiés au sein de la banque, et qu’il m’arrivait, assez souvent de ...
... m’attarder avec eux. Après avoir visionné de temps en temps dans des sex-shops du coin, quelques films pornos homos (On ne disait pas Gay à l’époque), je me suis attablé à nouveau au café proche de l’Etoile.
Je suivais du regard les entrées des hommes, et un jour, après avoir vu 3 arabes et 2 noirs y pénétrer, je me suis enfin décidé. Je voulais voir et savoir ce qui se passait à l’intérieur, avec l’envie, chevillée au corps, de dépasser les simples branlettes softs de l’internat.
Dans cette pénombre, salle éclairée que par l’écran sur lequel était diffusé un film porno à pleurer, mode de la fin des années 60, je me suis rendu compte qu’il y en avait 3 en fait, mais que dans l’une d’entre elles, le fond était beaucoup plus animé.
Très curieux, anxieux toutefois, mais je n’avais jamais entendu parler d’une quelconque agression dans cet endroit, je me suis approché du lieu de l’action. Un homme, assez jeune quand même, était penché en avant, suçant un sexe d’un bon calibre, pendant qu’un autre lui défonçait le cul, un troisième attendait que la voie se libère pour faire la même chose. Un autre, à genoux, branlait et suçait deux belles bites arabes, jusqu’à ce que le sperme de l’un se déverse sur son visage (Une faciale, mais je n’en connaissais pas le terme) et que le deuxième se vide dans sa bouche.
Sous mes yeux, j’avais, devant moi, le temple du sexe, le stupre de la luxure débridée. Au lieu d’être choqué, j’étais très excité et j’ai laissé deux jeunes hommes ...