Le Projet
Datte: 05/07/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bysmdream327, Source: Literotica
... à faire tourner le business). Et puis, petit à petit, elle a commencé à serrer la vis.
Elle m'a demandé de nettoyer ceci ou cela, de vider une cave, d'aménager des rangements dans le garage ...tout à fait normal me direz-vous. Oui mais ce n'était pas « tu ne voudrais pas ..... », c'était « je veux que ...et aujourd'hui ». Je laissais tomber, elle avait raison sur le fond et j'acceptais la forme. Je dois avouer, pour être honnête et mieux faire comprendre la suite de notre histoire, que cette autorité nouvelle ne me laissait pas indifférent. Quelque part j'aimais que ma femme se montre autoritaire, prenne les choses en mains. Cela venait du fait qu'après tant d'années à diriger et gérer dans ma vie professionnelle, j'avais certainement besoin psychologiquement de passer la main. C'est une réaction classique et attendue. Mais plus inattendu, cela m'excitait. Oui, quand ma femme me donnait un ordre un peu sèchement, cela me faisait bander.
Mais j'avais encore du mal à l'accepter. Vieux réflexe macho primitif de quelqu'un qui a passé une grande partie de sa vie à diriger les autres. Et c'est ainsi qu'un jour arriva l'incident qui allait tout précipiter. J'avais déjà fait ce jour-là je ne sais combien de fois le trajet entre la cave et les autres pièces de la maison pour, encore une fois, faire du rangement. Je m'assieds enfin dans un fauteuil et prends mon journal que je n'avais toujours pas eu le temps de finir depuis ce matin. A cet instant précis Alicia arrive et ...
... me dit : « va chercher le linge sale dans la salle de bain et descends le mettre dans la machine à laver ». J'en ai ras le bol et je lui réponds : « vas-y toi, je viens de m'asseoir et je ne bouge plus ». Sans hésiter un quart de seconde, elle se dirige vers moi, arrache mon journal, le jette par terre et me donne une violente paire de gifles. J'étais abasourdi par sa réaction, pourtant je savais que je devais réagir : répondre, partir ou accepter.... et ce dans l'instant. Je suppose que c'est un moi profond qui a pris le dessus sur l'autre alternative. Je me suis levé, je lui ai dit : « je te demande pardon ma chérie, je m'en occupe directement. » et je suis parti chercher le linge, la queue entre les jambes comme on dit. En passant devant elle, j'ai pu voir un sourire méprisant mais triomphant. Mon sort était scellé, une nouvelle vie allait commencer.
Quand je suis remonté de la cave, j'ai vu qu'Alicia avait jeté mon journal à la poubelle... Elle m'a dit de lui servir un verre et d'en prendre un pour moi, que j'en aurai bien besoin, et de la rejoindre dans le salon. Confortablement installée dans le canapé, je ne pouvais manquer de remarquer son chemisier entre-ouvert ; elle ne portait plus son soutien et je suis certain qu'elle l'avait il y a dix minutes. Plus de la moitié de ses seins étaient visibles, de quoi me troubler directement.
-Ecoute bien parce que je ne me répéterai pas et je t'interdis de m'interrompre. Oui, c'est bien le verbe interdire que j'ai ...