1. Fille du ciel II


    Datte: 30/07/2019, Catégories: fh, hplusag, couleurs, asie, bain, amour, fsodo, Auteur: Tylodine, Source: Revebebe

    ... dos, Mariko, s’emparant de mon épieu rigide, le plaça à l’entrée de son con ruisselant et se laissa tomber d’un coup, l’engloutissant jusqu’à la racine, en poussant un cri de satisfaction.
    
    Elle entama aussitôt un ballet endiablé au-dessus de moi ; je regardais, fasciné, mon vit entrer et sortir de son corps à un rythme de plus en plus rapide.
    
    Je décidai de reprendre un peu d’initiative et je roulai sur le côté, désarçonnant ma cavalière, qui poussa un râle de dépit, puis, avant qu’elle puisse réagir, je la retournai sur le ventre, et, la saisissant aux hanches, je lui mis les fesses en hauteur, exposant dans la lumière dorée de l’après-midi la fente luisante de sa vulve et la rondelle brune de son anus.
    
    Je m’enfonçai avec délices dans son con humide, la pilonnant à grands coups de reins, tandis qu’elle haletait, la tête sur les coussins du lit.
    
    Puis je ralentis le rythme, entrant et sortant juste le bout du gland, doucement, délicatement.
    
    — Ooh, ne t’arrête pas, gémit-elle, viens, baise-moi encore plus fort.
    
    Ressortant ma verge de sa chatte ruisselante, je la pris à la main et en frottai l’entrée du con et le clitoris, ce qui lui arracha de nouveaux cris.
    
    La vue de son anus en plein soleil m’excitait terriblement, et, prenant ses hanches à deux mains, j’y promenais ma langue, l’enduisant de salive.
    
    N’y tenant plus, je posai l’extrémité de mon gland dessus et poussai à petits coups, ne voulant pas forcer trop violemment le passage, manifestement peu ...
    ... accoutumé à ce genre de traitement.
    
    Mariko, qui s’était immobilisée un moment, se mit tout à coup à reculer et je m’enfonçai en elle d’un seul coup de dix bons centimètres.
    
    Voyant que sa réaction n’était nullement négative, je continuai à pousser, l’empalant jusqu’à ce que mes couilles viennent buter contre sa chatte, dont je sentais la chaleur humide.
    
    Passant mes bras autour de son ventre, je glissai deux doigts dans la fente laissée libre et continuai à l’exciter tandis que ma queue, serrée dans l’anneau étroit de ses reins, entamait un va-et-vient conquérant.
    
    En fait, je dis conquérant… mais, vu l’ardeur et l’excitation de ma partenaire, je commençais à me demander si je l’avais vraiment conquise ou si c’était elle !
    
    Le fait est que je n’avais encore jamais éprouvé un pareil plaisir, alors que je ne suis pas ce qu’on appelle un débutant… mais je me sentais parfaitement "en phase" avec Mariko, aucune gêne, aucune hypocrisie dans nos courtes relations. Nous avions tous deux un vécu, et, même si je ne savais que très peu de choses d’elle, je ressentais qu’elle libérait une tension accumulée depuis longtemps.
    
    Continuant mon va-et-vient, je maintenais un rythme relativement lent, lubrifiant de temps à autre ma verge avec le liquide qui sourdait toujours de son vagin.
    
    Mon érection semblait ne jamais devoir faiblir et je pouvais sentir contre mes doigts, logés au creux de son sexe la poussée de mon gland coulissant dans le fourreau de son anus dilaté.
    
    Un ...