Si tu vas à rio -- Ch. 02
Datte: 05/07/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bymeo75, Source: Literotica
... la métisse et lui dit que je mérite une punition! Je n'en crois pas mes oreilles. Pourtant je le suis quand il me demande de retourner avec lui et la métisse dans la salle de massage pour y être puni.
Penché sur la table de massage, je dois baisser mon maillot de bain. Je me fais l'effet d'un petit garçon qui est puni comme je l'étais quand j'étais jeune. Pierre me sermonne, me demandant pour qui je me prends, m'insultant en me disant que je ne suis qu'une petite pute qui ne prend du plaisir que quand elle a le droit, que j'abuse de son hospitalité et sa générosité, que je ne suis qu'un queutard. Je me sens bouleversé d'un coup, je ne comprends pas pourquoi mais je sens bien que j'ai fait quelque chose de grave, je m'en veux. Il me demande si je comprends pourquoi je dois être puni.
Je lui dis oui parce que je comprends qu'il est en colère et rien que pour cela je dois être puni je pense. Mais c'est si difficile pour moi de ne pas jouir, surtout après m'être ainsi retenu 10 jours. La jeune femme sort du cabinet attenant avec une longue tige d'un mètre qui me semble d'un coup menaçante. Pierre me dit qu'elle va m'en infliger 10 coups sur les fesses puisque je lui ai manqué de respect en jouissant et en plus sans même lui donner le temps à elle de prendre son plaisir. Je ne dois pas bouger sinon elle recommence. Je retiens mon souffle, je me prépare à avoir mal mais je me jure bien de ne pas bouger. Le sifflement précède la brûlure qui me coupe les fesses en deux. Je ...
... n'ai même pas la force de crier, je me retrouve à genoux à pleurer, en apaisant la morsure de la canne par mes deux mains sur mes fesses.
La sensation est atroces, je ne trouve pas cela drôle du tout, quand j'étais battu jeune ce n'était pas si douloureux. Humiliant certes, mais pas si douloureux. Le silence se fait, Pierre et sa complice attende. Je réalise que j'ai bougé et je reprends en tremblant ma punition. Pierre me rappelle alors que nous recommençons à zéro. Je me demande comment je vais pouvoir faire. Même sifflement, même brûlure, je suis à nouveau à terre en pleurant à chaudes larmes incapable de résister à la douleur. Pierre me dit que si cela continue je serais attaché mais alors j'aurais 20 coups. Je comprends que je dois me conditionner, je me replace, je me répète de ne pas bouger, de ne penser à rien, de refuser la douleur. Le sifflement, la brûlure, cette fois-ci je ne bouge pas, je suis tellement fier. Mais c'est tellement difficile, la brûlure se diffuse et ne se calme guère alors que retentit déjà le coup suivant. J'en suis à huit, mes jambes tremblent, je sens mes fesses brûler comme jamais, les larmes coulent sans que je ne fasse rien pour les retenir. L'avant dernier coup me surprend et je suis à deux doigts de tomber à nouveau. Elle a frappé le haut de mes cuisses, moins fort j'en suis certain car le sifflement était à peine perceptible, mais la douleur est tout aussi atroce. Un dernier coup un peu en dessous, mes deux cuisses sont elles aussi ...