COLLECTION VENGEANCE. Un réveillon de Noël finissant mal (1/2)
Datte: 04/07/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Nous sommes à 30 minutes de minuit lorsque le portable de ma femme vibre de nouveau.
• Antoinette, ça fait trois fois que ton portable vibre et que tu t’empresses d’effacer le message.
Qui peut t’écrire un soir de Noël ?
• Simplement notre journal, le « Progrès, » il y a eu un accident sur la nationale et ils nous envoient des informations.
Une nouvelle vibration, avant qu’elle ait le temps de réagir et effacer, je me saisis du portable et j’ouvre le SMS qui s’affiche.
• Bébé, tu me fais languir, pourquoi refuses-tu de me répondre ?
Ton cocu est trop près de toi !
Dis-moi lundi tu mettras ta robe rouge, tu sais celle que j’adore, car elle me permet de fourrer ma tête dessous et de te sucer ta chatte épilée.
• Jules, c’est juste un jeu avec le juge d’instruction avec lequel je travaille.
• Un petit jeu, tu te fous de ma gueule, il sait que tu es épilée, tu appelles ça un petit jeu.
Tu baises avec ce vieux croûton et tu veux que ce soit seulement un petit jeu !
• Il a 58 ans, Jules, dit que c’est vieux !
• Toi la vieille salope, t'es comme ta fille, une pute, attendez, on va jouer !
58 ans pour lui, 23 ans pour elle, chercher l’erreur !
Je tape le texte suivant.
« Alfred, oui, ta tête sous ma robe rouge, tu me suceras la chatte comme la dernière fois, et après ! »
À ce moment, c’est mon beau-père Lucien qui prend la parole pour défendre sa femme de mon insulte la traitant de pute.
• Jules de quel droit traites-tu Babette de ...
... pute ?
• Depuis que mardi je suis allée chez toi poser le papier peint, pendant que tu étais à ton lycée.
Ta carrière au sein de cette administration était tellement ton seul sujet que tu as fermé les yeux sur la salope qui te sert de femme.
• Jules, tais-toi, mardi c’était un accident.
Le portable dans ma main vibre, je lis.
« Après tu me suceras le chibre bien plus gros que celui de ton mari, du moins c’est ce que tu m’as affirmé.
Avant, j’espère que tu m’enverras ces petits jets de cyprine qui sortent de toi et que j’adore boire ! »
Une fois dans les premiers jours avec moi Antoinette a été femme fontaine.
Depuis j’essaye que cela recommence et c’est ce vieux barbot qui arrive à recevoir sa cyprine dans sa bouche.
Je me suis renseignée la première fois, l’excitation d’Antoinette étant à son paroxysme, son corps a réagi en expulsant tout le liquide m’ayant surpris.
Est-ce le fait que ce soit un vieux qui lui suce la chatte, lui semble avoir réussi à ce qu’elle jouisse plus qu’avec moi.
Je réponds à la femme fontaine qu’elle semble être avec son juge d’instruction.
« Alfred, cela dépend de ta langue sur mon clito, moi, dans tous les cas, je te sucerai. »
• Jules, tu en as trop dit, que s’est-il passé mardi.
• Je descendais de l’escabeau après avoir posé un lai de papier peint, quand Babette est entrée venant de la salle de bains en peignoir, il s’est lamentablement ouvert sur son corps nu.
• C’était un accident !
• Un accident, ...