Adultère et découverte du plaisir pour Anne
Datte: 03/07/2025,
Catégories:
fh,
vacances,
plage,
caresses,
préservati,
pénétratio,
extraconj,
Auteur: Anneetfrancois, Source: Revebebe
... rapidement, passa son pyjama et se glissa dans le lit conjugal… elle mit du temps à s’endormir.
Anne se réveilla plusieurs fois dans la nuit. Elle se leva vers huit heures, en même temps que son mari. Elle enfila rapidement des vêtements et fila chercher du pain à la camionnette du boulanger ambulant ; plusieurs personnes attendaient, parmi elles, Valérie. Elle semblait rayonnante et fit un grand sourire à Anne.
— Bonjour, vous allez bien ?
— Oui. Et vous ?
— Très bien, à part le temps qui se dégrade… On dit qu’il va pleuvoir cet après-midi, mais je pars à l’excursion. Vous y serez ?
— Non, je veux rester un peu seule.
Elles échangèrent d’autres banalités puis se saluèrent.
Anne rentra au bungalow avec le pain. Elle déjeuna avec son mari, puis celui-ci partit pour l’excursion.
Elle passa la matinée à travailler mais était parfois distraite par la scène qu’elle avait auditivement perçue la veille.
Elle grignota un peu vers treize heures et décida d’aller faire un tour vers la mer. Le temps se gâtait, mais elle aurait peut-être le temps de marcher sur la plage, et peut-être même de nager un peu. Elle mit son maillot de bain une-pièce. Un modèle particulier qui se fermait avec une sorte de lacet dans le cou.
Elle sortit et marcha vers la plage. Étrangement, celle-ci paraissait déserte, sans doute en raison de l’excursion, mais plus sûrement en raison des gros nuages noirs qui s’étendaient au-dessus de la mer.
Elle aperçut un homme au loin. Mais oui, ...
... on dirait bien François. Il était assis dans le sable et se leva à son approche. Ils marchèrent l’un vers l’autre.
Les nuages progressaient dans le ciel.
François était torse nu. Elle le trouva très attirant avec ses larges épaules, ses poignées d’amour – mais ses abdos puissants se devinant bien –, et son beau sourire.
Elle se sentit moche et peu désirable.
— Bonjour, Anne.
— Bonjour, François, je me croyais seule. J’ai vu ta femme ce matin en prenant le pain, elle m’a dit qu’elle partait en excursion… je te croyais avec elle.
Il sourit.
— Non, il y avait la fenêtre de la chambre qui ne fermait plus, j’ai dû la réparer, tout comme notre lit. Mais vous n’êtes pas partis, Gilles et toi ?
— Gilles, si… mais moi j’avais envie de rester seule et je connais bien la ville.
Le temps se gâtait de plus en plus.
Ils continuèrent à parler. Une tension sexuelle commençait à se nouer entre eux. François sentait le début d’une érection, espérant que cela ne se verrait pas.
Soudain, le vent forcit. Anne frissonna.
— Ouh, il commence à faire froid, je vais rentrer !
Mais avant que François ne puisse répondre, d’un seul coup, la pluie se mit à tomber. Aussitôt, sans se concerter, ils se mirent à courir vers le village vacances sous un déluge. Ils arrivèrent près du premier bungalow, là où elle avait entendu le couple faire l’amour. Le numéro 117 enlevait toute ambiguïté.
François s’arrêta devant, il prit la clé derrière le volet, et ouvrit la porte. Elle ...