1. Dette fiscale...ou comment Corinne levasseur devint la "salope de son mari ". (8)


    Datte: 08/03/2018, Catégories: Trash, Auteur: antonin mordore, Source: Xstory

    ... croiser le regard du jeune, qui prenait sa femme de si vulgaire façon. Il y vit un mélange de triomphe, de sadisme, de vice le plus pur, d’une perversité insondable... il avait l’impression de croiser le regard du diable en personne. Et quand s’étant soulagé dans la bouche de son épouse et se rhabillant, il croisa le regard de son épouse déchue, il y vit la même chose. Sortant à reculons, titubant sur une chaise, se raccrochant à un grand chandelier, qu’il fit tomber contre l’insert de la cheminée, dont la porte en verre éclata, il s’enfuit sous les rires des deux amants.
    
    Puis, enfermé dans les toilettes, dégueula tout ce qu’il put !
    
    Alors, la nuit, sans fermer l’œil, pendant que sa femme se faisait sauter et re-sauter par le sagouin, il prit une décision... tout ici avait été souillé par cette démone qui vivait avec lui : ustensiles de cuisine, légumes, chaises, pouf, pièces...
    
    Certes, il portait l’entière responsabilité de tout cela... mais il était temps de siffler la fin de la récréation !
    
    Épilogue:
    
    Un courrier atterrit sur le bureau de l’inspecteur des impôts, il l’ouvrit, étonné, et y découvrit avec une grande stupéfaction la “profession de foi” de son “client”... et son repentir, accompagné d’un chèque de 10 millions d’euros. Rodolphe expliquait que cette situation dans laquelle il voyait sa femme se débaucher chaque fois un peu plus, et y découvrir un plaisir tragique, que lui pauvre mari raisonnable, n’avait pu lui offrir, lui avait définitivement ...
    ... érodé les nerfs.
    
    Il n’en pouvait plus de ce jeu pervers, dans lequel sa femme exprimait une sexualité morbide et dégradante. D’autre part, les longues nuits sans sommeil, consécutives aux turpitudes de son épouse, qui avait des relations sexuelles suivies (et très bruyantes avec le jeune serviteur) lui avaient permis de comprendre l’échec du sens de sa vie. Accumuler la puissance financière pour briller aux yeux de sa femme ne lui avait servi de rien... la preuve !
    
    Aussi il avait décidé de tout lâcher : honneurs, puissance, rang dans la société, argent.
    
    Il donnait tout, tout ! D’abord, en remboursant sa dette fiscale, plus un reliquat, qui, il l’espérait lui permettrait de mettre un terme définitif avec le fisc.
    
    Le reste de l’argent et tous ses titres bancaires en France ou à l’étranger seraient accordés à des associations caritatives diverses, pour aider les gens qui étaient vraiment dans le besoin... quant à toutes ses entreprises, il en remettait le gouvernement à ses salariés !
    
    Tout l’empire de Rodolphe Levasseur était désormais géré en prise directe par ses salariés !
    
    Voilà qui allait provoquer un tremblement de terre au sein du CAC 40 ! Et certes, cela n’avait pas plus à tout le monde... certains craignant “une contagion sociale”, et des demandes pressantes de leur propre masse salariale.
    
    En tout cas, le non-dit était oppressant : et si les salariés en autogestion dirigeaient mieux les sociétés de Rodolphe que les grands patrons d’à côté ? Avaient de ...