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Fétichisme - Le pet (Fétichisme - Le pet (1/3)
Datte: 01/07/2025, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Senteurs, Source: Hds
... j’aime entendre ces choses ! Et justement, ton corps me procure tellement de plaisir de cette façon. C’est mon côté pervers qui aime sentir tes aisselles ou tes cheveux pas lavés et puants, lui dis-je tout en parcourant de mes mains ces zones du corps à chaque fois que je les cite. Je la regarde un peu puis j’enchaine : - Non… en fait, j’ai pas « un côté » pervers. Toute ma personne est perverse ! Je sais que quand je te sens c’est simplement un amour profond pour ton corps qui me motive. Un amour pour ce qui te compose, les bonnes choses comme les mauvaises. Mais surtout les mauvaises car elles permettent d’exprimer un désir plus puissant. Si on accepte même les mauvaises choses, c’est un amour fort pour le corps. J’aime aussi penser que c’est un truc scientifique. Tu sais, il parait que les phéromones se retrouvent dans nos odeurs du coup on est attiré par certaines parties du corps. Mais… pourquoi ce ne serait pas l’association de tout cela ? - Intéressant… en ce qui concerne le sexe, moi j’ai toujours aimé des trucs différents. Et parmi ceux-ci, cette obsession pour les odeurs. L’odeur du mâle, de sa sueur par exemple, ça m’excite tellement. - C’est exactement ce que j’aime chez toi. - Au début, je me suis dit que je faisais ça juste pour être différente des autres mais avec le temps, j’ai découvert que les pratiques sales m’excitent. Tu sais je dois avouer que j’aime beaucoup t’imposer des choses désagréables qui se dégagent de mon corps… Ou du moins des ...
... choses qui sont censés être désagréables car pour toi cela peut-être une source d’excitation. - Là, c’est encore plus intéressant… plus j’y pense plus je me pose des questions mais tu sais, dans la vie, faut pas trop s’inonder de questions non plus! - Oui ! Elle s’ouvre de plus en plus. Akari fait de moi une personne heureuse. Cet après-midi est déjà spécial car je m’attaque désormais à son anus et aux alentours pour en extraire les odeurs les plus mauvaises qui soient. C’est la source du mâle. Le rendez-vous des phéromones, de la transpiration et même de mademoiselle cyprine si je m’éloigne un peu du trou de balle. Une demoiselle qui porte un si joli nom aux passages ; son passage dans le texte et son passage par la belle chatte d’Akari. Ce jour-là, le derrière devant lequel je me tiens émet son odeur dès que j’écarte les fesses. Quelle saveur exquise. Je peux oublier de manger à cause de ces senteurs capables de transpercer mon nez. Chaque fois que des fesses se présentent devant moi je m’approche et je les embrasse avec le plus grand amour du monde. Je fais un peau-à-peau comme s’il était possible que nos deux corps fusionnent et ne fassent plus qu’un. Juste après avoir senti la douceur des fesses, je commence par sentir les effluves de la raie d’Akari. J’allais faire le jeu de mot « l’Akaraie » mais je me suis dit que la moitié de mon lectorat allait se barrer. D’un autre côté, avoir la moitié de rien ne sera pas très grave donc je le garde ! Dès que j’hume ...