La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1665)
Datte: 29/06/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... sincèrement et sarcastiquement.
- Oui très clair, que cela n’arrivera jamais.
- Tu vas le payer cher, la salope mais plus tard.
Alois était couché sur la paillasse et dit à Marie de venir s’empalée sur sa queue dure et tendue à l’extrême et de se pencher en avant pour que Grégoire lui prenne le cul, cette fois-ci, elle s’y attendait et s’était mentalement préparée à cette double intrusion. Les deux mâles la besognaient en cadence et plusieurs fois Marie faillit utiliser le mot « oiseau » car au-delà de l’envie de jouir, elle avait mal aux jambes à cause de la position pliée quasiment en deux, même si en elle, ressentant ces deux grosses bites la baiser sans ménagement et s’entrechoquer dans son ventre, cela l’excitait grandement. Finalement elle put tenir bon en pensant à la satisfaction du Maître et à l’aversion quelle ressentait vis à vis de ce Grégoire, ce sinistre bucheron. Et tous deux jouirent en elle presque en même temps. Ensuite Marie se remis en position d’attente encore un peu tremblante suite à cette double pénétration, certes pénible mais aussi très excitante, à la limite d’une explosion orgasmique. Le vulgaire Grégoire lui dit se méprenant sur ses tremblements.
- Tu trembles? Tu as raison car tu as manqué de respect à une personne supérieure à toi, à un bucheron !
Et en un éclair avant que qui que ce soit ne put régir, Grégoire attrapa la cravache en bois souple au manche de cuir que Messire Léon avait déposé sur la table à côté de lui mais ...
... Alois s’interposa entre Marie et lui en hurlant.
- Non, ne fait pas ça et…
Alois reçut le coup en plein visage et tomba au sol saignant abondement à l’arcade sourcilière. De suite, Messire Léon attrapa par le bras Grégoire tout en criant à l’aide à Messire Mathieu resté derrière la porte dans le couloir. Ce dernier intervint très vite et ils ne furent pas de trop, à deux, pour maitriser non sans difficulté le rustre bucheron et l’attachèrent à un solide anneau scellé dans le mur du fond. Marie n’avait pas reçu l’autorisation de bouger mais voyant Alois blessé, et qui avait pris le coup à sa place, ne put s’empêcher de lui porter secours. Elle était immédiatement allée prendre le pot d’eau et déchirer un morceau du drap propre pour nettoyer la blessure et faire pression pour essayer d’arrêter le sang. La blessure semblait assez grave car il était blessé à l’arcade sourcilière mais aussi à la joue. Messire Léon revint :
- Je vais m’en occuper, Mathieu, il faut le sortir d’ici, et toi Marie, trouve Chloris, dit lui de préparer de quoi soigner de graves coupures dont une à l’arcade sourcilière.
Marie ne pris pas le temps de répondre qu’elle était déjà partie. En sortant, au fond du couloir, elle percuta Antonin qui passait justement par là.
- Messire, je vous présente mes excuses, nous avons eu un accident- Quoi ? Ou s’est passé cet accident ?
- Dans les sous-sols dans l’ancien cachot de la favorite du feu père du Maître. Je dois aller prévenir Chloris.
- La ...