Les petites stagiaires: Aglaé III,5
Datte: 29/06/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Exorium, Source: Hds
... corsage, l’a rejeté derrière elle. Le soutien-gorge était blanc, parsemé de petites fleurs roses. Elle l’a dégrafé, en a laissé couler les bretelles le long des bras. Sans jamais me quitter des yeux. Les seins étaient en dénivelé doux, parcourus de fines veinules bleues. Les pointes en étaient légèrement dressées.
J’ai longuement savouré. Et elle m’a longuement regardé savourer.
– Vous aimez ?
Si j’aimais !
Elle s’est levée. La jupe est tombée. La culotte était blanche, légèrement transparente, ornée de petites broderies en relief. Ton sur ton.
– Vous bandez ! Et pas qu’un peu !
Elle s’est retournée, l’a descendue, m’a laissé me repaître tout mon saoul de ses fesses. De jolies petites fesses gentiment rebondies, au sillon profondément creusé entre elles.
– Devant ! S’il te plaît, Aglaé, devant, maintenant !
Elle m’a fait face, le sourire mutin, les deux mains ramenées en coquille devant elle.
– Ma chatte ? C’est ça que vous voulez ? Oui, ben vous d’abord ! Votre queue ! Moi aussi, faut que je me rende compte. Que je puisse bien me représenter avec quoi vous vous faites plaisir quand je suis occupée, à côté, avec Ewin.
Ma queue ? C’était pas bien compliqué. Ah, comment il a volé mon pantalon ! Là ! Voilà ! Elle m’a jeté un regard appuyé en bas, s’y est attardée, m’a longuement détaillé.
– Mouais ! C’était bien un peu comme ça que je me l’imaginais. On s’attend toujours à je sais pas quoi d’extraordinaire, mais c’est bien toujours un peu ...
... pareil finalement. À quelques détails près. Oh, mais vous vexez pas, hein ! Elle est pas mal quand même !
Elle n’a pas retiré ses mains.
– Vous allez me chercher quelque chose à boire, tiens, plutôt ? J’ai une de ces soifs.
Quand je suis revenu, un verre à la main, elle était allongée de tout son long sur le canapé. Elle me tournait le dos.
– Vous voulez toujours ?
Un peu que je voulais !
Elle a lentement déplacé sa jambe gauche. L’a remontée. Plus lentement encore. Ça lui a mis la chatte à découvert. Sur toute la longueur. En replis soyeux. En ciselures dentelées. En pleins et déliés rosés. Je me suis gorgé d’elle. Je m’en suis repu. Ma main sur moi. Je me suis enserré. J’ai entrepris un fougueux et impatient va-et-vient.
– Je vous vois, vous savez !
Dans la glace, juste au-dessus de la petite sellette de l’entrée.
Nos regards se sont croisés. J’ai poursuivi de plus belle. À l’entrée de son petit réduit d’amour une goutte a perlé. Ça s’est étendu en doux chatoiement moiré. Mon plaisir a surgi, s’est répandu au hasard. Sur ses reins. Sur ses fesses. Sur le bord du canapé. Sur le tapis.
Elle s’est redressée, m’a souri.
– Eh ben dites donc, je vous ai mis dans un état ! J’ai bien cru que vous alliez la casser à vous acharner dessus comme ça. J’adore. J’adore vraiment. Toutes les filles, ça vous fait pareil quand vous les voyez à poil ?
– Plus ou moins. Mais faut reconnaître qu’avec toi, ça atteint des sommets. On n’a pas idée d’être aussi bien ...