1. Une Situation Si Particulière


    Datte: 28/06/2025, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    ... féminines...
    
    Oh, oui que c'est bon cette jeune virilité qui me remplit la bouche après le con!... Je me pâme d'aise et de jouissance. Habillement, il a remplacé sa bite par 3 doigts qui me pénètrent très en profondeur et me branlent adroitement le point G... Je sens des flots de cyprine qui me giclent du con et inondent sa main puis son torse...
    
    La pression de la bite augmente dans ma bouche. La verge merveilleuse enfle encore et brusquement, avec de multiples soubresauts, elle éclate sur ma langue, m'inonde le palais d'une saveur chaude et salée... Je reçois sa jeune décharge avec une suprême satisfaction qui marque un complet aboutissement de mes sens...
    
    Nous restons un long moment coller ainsi l'un à l'autre. A deux pas de nous la pluie redouble. Nos corps nus et repus reçoivent les embruns humides des goutes qui éclatent juste à côté sur le sol. Puis, il vient se mettre sur moi et me baise la bouche avec une passion et une avidité qui, le moment de délice passé, m'effraient un peu...
    
    - "Pardon ma belle--maman chérie... Pardon, mais j'en avais trop envie depuis tellement longtemps... Je te demande pardon... "
    
    - "Non, c'est moi mon chéri, c'est moi qui te demande pardon d'avoir cédé à mes envies folles à moi aussi. Je suis morte de honte... Mais tu m'as fait tellement, tellement de bien, chéri... Qu'après cela, tu sais, rien d'autre ne peut exister pour moi... "
    
    C'est vrai, à cet instant j'avais une terrible honte de moi... Faire l'amour avec un gamin que ...
    ... j'ai connu pré-ado, et que j'ai élevé pendant près de 10 ans... Personne ne peut imaginer le sentiment de honte que cela provoque... Et pourtant, je ne parviens pas à me culpabiliser tant ces moments ont été intenses et tellement désirés...
    
    Nous nous sommes relevés encore hébétés de la situation... La pluie a un peu faibli et nous regagnons la voiture lentement, nus, la main dans la main comme deux jeunes amoureux. Nous ne sentons plus la pluie qui glisse sur nous et semble ne pas nous mouiller... Arrivés à la voiture, nous prenons le temps de nous essuyer avec deux ou trois chiffons, disposons sur les sièges le peu de vêtements secs qui nous restent : un pull, un vieux gilet, une tenue de jogging qui traîne dans le fond du coffre, et nous repartons, nus, sous l'orage finissant... Pendant la demi-heure de trajet qui reste, nous n'échangeons pas un mot. Seulement des regards et des sourires apaisés. Je sens qu'il regarde mes seins qu'il a si longtemps convoités. Il regarde aussi mon pubis dont la petite touffe restée au-dessus, est encore mouillée des liqueurs de nos ébats. Moi, je jette des regards furtifs, mais appuyés à son sexe plus flasque, mais encore long et beau qui retombe sur sa cuisse... J'en éprouve des frissons qui me donnent la chair de poule. Juste avant le dernier village, je m'arrête. Nous renfilons nos vêtements mouillés et froids, qui collent de partout.
    
    Trois minutes encore et nous arrivons à la maison. Etienne le cadet de 15 ans est encore chez ses ...
«12...5678»