1. La Femme du Maire (Partie 2)


    Datte: 28/06/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Jackobscene, Source: Hds

    ... dit, d’une petite voix haletante : « T’as des capotes ? » Je me redresse et prend dans la poche de mon short...J’y avais pensé heureusement !
    
    J’enfile le latex sur ma queue et reviens direct entre ses fines cuisses ; vu comment elle mouille, je rentre en elle sans aucune difficultés et elle pousse un petit cri haut perché lorsque j’y suis en entier. J’entame des vas et viens vifs, la pénétrant jusqu’à la garde . Mon cœur tambourine dans ma poitrine et Lise, en sueur, respire de plus en plus vite, le teint écarlate, ses grands yeux verts posés sur moi. Je prends ses cuisses et les fait basculer de côté ; c’est comme si elle se trouvait de profil. Je la lime encore sans retenue, dans le même rythme effréné que depuis le début, au son de mes couilles qui claquent maintenant son cul , ainsi que ses gémissements de plaisir. Je sens que je peux venir d’un instant à l’autre et je sens aussi que ce sera l’explosion ; mis à part quelques branlettes, ma vie sexuelle était totalement vide avant aujourd’hui !
    
    Au bout d’un moment, tous les deux en nage, la sueur sur nos visages, Lise retire mon membre de sa chatte et me pousse d’une main délicate sur ma poitrine, pour que je m’enfonce dans le cuir du canapé, assis. Je constate au passage qu’elle a tellement mouillé que des traces blanches tâchent le cuir de l’assise. Elle vient s’empaler sur moi avec un grand sourire, haletante, et elle reprend le rythme rapide et vigoureux que j’avais imposé avant. Elle devient de plus en plus ...
    ... folle et son visage prend une teinte encore plus rouge. Je sens que je vais venir, mon cœur s’accélère. Elle prend mes cheveux et met ma tête entre ses petits seins que je lèche sans aucune retenue. Elle gémit de plus en plus et je sens que mes râles deviennent plus audible dans le salon. Elle se met maintenant à me dire, d’une petite voix implorante : « Oui, vas’y, vas’y ! » A l’entendre, je me sens encore plus excité et je suis au bord de l’explosion, elle aussi, je m’accroche à ses fesses dans lesquelles je plante mes ongles et tout â coup, je râle de plaisir tandis qu’elle pousse un long cri haut perché ; on vient en même temps ! Je décharge pas mal dans la capote pendant que Lise rejette sa tête en arrière, dans un plaisir intense.
    
    On reste un peu comme ça, à reprendre notre souffle puis elle se dégage et remet son peignoir, le teint encore cramoisi, le visage en sueur avec son chignon légèrement de travers sur le crâne mais elle sourit. Un sourire éclatant, de joie, tandis que ses yeux me regardent en pétillant.
    
    - Florian, c’était…waho ! Me dit-elle avec joie.
    
    - Pareil, tu sais ! Je lui réponds.
    
    Je vois qu’elle regarde de l’autre côté, la grande horloge de la cuisine et elle prend un air un peu inquiet : - J’veux pas te mettre à la porte mais, je préfère prendre mon temps pour me laver et me préparer avant que Jean-Yves soit rentré, tu comprends ?
    
    - Oui, bien sûr ! Je dis en remettant mon froc.
    
    Elle revient vers moi sur le canapé. Penchée, je vois ses ...
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