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Maud et Sandrine (8)
Datte: 26/06/2025, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Exorium, Source: Hds
- Pas mal, hein ! Maud était bien aussi de cet avis. - Pas mal du tout, oui. Ça, c’est de la queue ! Harmonieuse et tout et toutElle a avancé la main. Effleuré les coucougnettes. - Eh là ! Pas touche. C’est moi qui l’ai trouvé. - Oh, mais on peut bien partager. Quand il y en a pour une, il y en a pour deux. - S’il a rien contre…Lui ? Rien du tout. Non. Au contraire. - Ben, tu parles ! Il est ravi de l’aubaine. Et leurs mains, à toutes les deux, lui ont couru sur la queue. En même temps. S’y sont rencontrées. Rejointes. À la lui enserrer. À la lui décalotter. À lui en agacer le bout. À lui flatter les couilles. Maud a constaté. - Il y a un cœur qui lui bat dedans. Il va gicler. Et ça va pas tarder. Ce qui ne convenait pas du tout à Sandrine. - Ah, non, hein ! Pas déjà. Pas sans s’être d’abord occupé de moi. Il a pas le droit. Elles l’ont lâché. S’occuper d’elles ? Oh, mais il demandait pas mieux ! - Eh ben alors ! Allez ! Il a attiré Sandrine contre lui. Il lui a sorti un sein. Le deuxième. Il y a posé les lèvres. En a fait dresser tour à tour les pointes. Son autre main, il l’a glissée dans la culotte du maillot. Où il a fourragé. Exploré. Visité. Sandrine a respiré plus vite. Haleté. Elle s’est déculottée. Il l’y a aidé, impatient. Elle a posé ses fesses sur la caisse, s’est renversée en arrière. Elle a ouvert les jambes. Et elle a supplié. - Bouffe-moi la chatte ! Bouffe-la-moi ! Il s’est agenouillé devant elle. D’abord ...
... un petit coup de langue au hasard. Sa saveur. Ses senteurs. Il est monté, très vite, débusquer le petit bouton. Qu’il a voluptueusement savouré. Savamment dégusté. Sandrine s’est cabrée. S’est ouverte plus au large encore. - Oh, c’est trop ! C’est trop ! C’est trop bon ! Ses pieds ont martelé le sol. - Ça vient ! Ça vient ! Je viens. Maud s’est penchée sur elle. Tout près. Ses yeux dans les siens. - Jouis ! Jouis ! J’adore ça, te voir jouir. Et son plaisir l’a transpercée. Elle l’a éperdument sangloté, les doigts crispés dans les cheveux du type. Qui a continué à lui lécher délicieusement la chatte. Trempée. Envie. De sa queue. De se sentir remplie. Tellement. Elle l’a arrêté. Lui a fait relever la tête. - Viens me fourrer maintenant ! Viens ! Elle l’a accueilli dans un grand râle de bonheur. S’est refermée sur lui. - Elle est à moi ! Tu es à moi ! Je veux ta semence. Je la veux. Et elle l’a eue. Dans un grand déferlement de jouissance. - Oh, merci ! Merci. Maud lui a caressé les joues. Les paupières. Les lèvres. - Ce que t’es belle quand tu prends ton pied ! * * * Sandrine était d’avis qu’il fallait peut-être bien le laisser rouvrir maintenant. - Les clients doivent se demander ce qui se passe. - Oh, j’ai bien le temps…- Ben oui, c’est lui, le patron. Ça, Maud, elle n’en était pas si sûre. - Moi, je croirais plutôt qu’il est étudiant, que c’est papa-maman, les patrons. Et qu’il vient gentiment les aider à ses moments ...