COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Fin de la saison V (15/15) - Histoires de Sexe

COLLECTION LIBERTINAGES. Croisière surprise. Fin de la saison V (15/15)

... avec Gaspard pour payer les chambres et je vais le faire rouler toute la nuit pour être à l’heure.

S’il le faut, je prendrai le volant, nous sommes arrivées ce matin, il a déjà conduit toute la nuit dernière.

Gaspard, c’est son chauffeur, elle parle de « payer les chambres », mais c’est plus certainement la chambre.

Carlos est un vieux monsieur la soixantaine et Gaspard conduit leur Bentley.

Comme je l’ai dit, sans le vouloir, je les ai fait se rencontrer lors d’un petit pince-fesse que j’avais organisé avec Gilles du temps où j’étais une femme dite sérieuse.

Carlos est dans la finance et comme il a des douleurs dès qu’il fait humide dû à un accident lorsqu’il faisait des rallyes, il est venu s’installer à Nice qu’il quitte rarement.

• Il va falloir trouver à vêtir Moussa, le problème se pose lorsque je regarde tes pieds, tu chausses du combien.

• Du 46, Jennifer.

Gilles, Serge, Alex, pour la chemise et le pantalon, les lunettes de soleil pour faire touriste, mais les chaussures va nous poser problème.

Mais d’un coup, une image me revient, le triangle avec Balou et Pierre.

Lorsqu’il jouait de son ocarina, il battait la mesure avec son pied, certainement la taille qu’il nous faut.

Je quitte nos amoureux, une nouvelle fois j’ai une idée.

Je dois descendre au pont où se trouvent les cabines du personnel.

Je passe par un escalier extérieur surplombant les piscines des coursives du 3e et du 2e niveau des participants ayant payé pour notre ...

... croisière qui je le répète pour moi était simplement surprise.

Les deux garçons sont dans des chaises longues au 2e niveau à siroter un cocktail.

Là encore, contrairement aux nombreuses personnes se baignant souvent nu, ils ont sur eux un caleçon de bain.

Je frappe à la porte de Ylva ma future belle fille m’ouvre.

• Ylva, il faut que tu m’aides, sais-tu où est la cabine de Balou et de Pierre, j’ai quelque chose à y faire.

• Jennifer, je suis heureuse de te voir, le travail est si prenant que je regrette que nous soyons si peu ensemble.

Bien sûr que si je peux t’aider, je vais le faire, leurs deux cabines sont un peu plus loin que la nôtre.

J’ai le passe, c’est moi qui fait leur lit tous les jours.

Tu as de la chance, je m’apprêtais à y aller.

• Je te tiens rapidement au courant du problème que j’ai après avoir menti à mon fils lorsqu’il est venu à notre porte me prévenir qu’un passager clandestin se trouvait à bord.

• Viens, je sais qu’il y a toujours deux ou trois paires de baskets qui trainent et que je dois ranger.

Nous remontons la coursive et elle ouvre une porte grâce à un passe que tous les employés de cabines ont.

Une chambre d’homme seul en croisière, des bouquins de science-fiction et des polars.

Et les nécessaires chaussures que je suis venue chercher.

J’en prends une, taille 46, ça fera l’affaire, j’avais vu juste.

Je les ai dans les bras lorsque j’entends la porte s’ouvrir.

• Que faites vous dans ma cabine mesdames, ...