Initiation militaire. 12 - Le mess des officiers
Datte: 22/06/2025,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Auteur: Passud, Source: Hds
... le légionnaire m'attrape par la queue pour s'en servir d'appui.
J'explose alors d'un long râle étouffé en expulsant tout mon sperme, au rythme des assauts violents du légionnaire.
Il me décalotte avec ses doigts à chaque fois qu'il me défonce l'anus avec sa grosse bite.
Le sergent explose à son tour, j'ai un effet de régurgitation en recevant son foutre brulant dans la gorge.
Je suis toujours soumis à la pénétration violente du militaire qui m'encule, le plaisir devient uniquement anal à présent.
J'avale le jus chaud du sergent qui s'est arrêté pour éjaculer longuement dans ma bouche.
Je ressens alors la crispation du légionnaire qui s'active encore davantage en gueulant des insultes à mon égard.
Il explose lui aussi, il se couche sur moi, son souffle fort et chaud m'excite.
"Arhhhhhhhhhhhh ! Putain, salope ! J'ai rarement joui aussi fort dans un cul ! Arhhhhhhhhhhh !".
"Arhhhhhhhhhhhh ! Oui, vas -y ! Vides toi ! Arhhhhhhhhhhh ! Tu m'as bien fait jouir ! Arhhhhhhh !".
Puis arrive le calme, après la grosse tempête sexuelle.
Nous sommes tous les trois, étourdis par le plaisir.
"Putain ! Gueule d'ange ! Tu nous as tué ! Mais c'était trop bon ...
... !".
"Ah, ouais ! Super bon !" Ajoute le légionnaire.
"Pour moi aussi, c'était bon ! J'avais besoin d'éjaculer en me faisant détruire le cul ! Merci de l'avoir fait !".
"On recommence quand tu veux !".
"Pas de souci, mais là, j'ai eu mon compte ! Vous deux et les 9 autres dans les chiottes du mess des officiers, c'est beaucoup pour aujourd'hui !".
"Ah ouais ! Carrément dans les chiottes du mess ! Ca, je crois que c'est jamais arrivé !".
"Bon, vous étiez venu pour ça ?".
"Oui, mais on a eu plus que ce qu'on voulait ! Merci Pascal !".
"De rien, c'est toujours un plaisir, et encore plus aujourd'hui, merci sergent !".
Ils m'aident à me relever, je me nettoie de mon propre sperme, puis je m'essuie l'anus et le tour de la bouche.
Ils me quittent avec un grand sourire. Je me sens mieux, libéré de mon besoin d'éjaculer, une simple masturbation m'aurait frustré.
Mais je suis pris d'une grosse fatigue soudaine, je m'assoie sur une chaise et m'appuie sur mon établi, puis tombe dans un profond sommeil.
C'est un camarade qui me réveille, inquiet de ne pas me voir avant le repas du soir.
Je suis allé manger, puis je me suis couché jusqu'au lendemain.