Jumelles moins proches
Datte: 22/06/2025,
Catégories:
fh,
freresoeur,
humilié(e),
dispute,
photofilm,
Masturbation
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
fdanus,
coupfoudr,
rencontre,
Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe
... voulu aller parler avec toi. En te voyant faire, j’ai compris que c’était inutile.
— Et pourquoi on aurait eu des mots ?
— Hé bien, on ne peut pas dire que vous ayez tout à fait les mêmes idées, et après tout ce que tu m’as dit quand je suis venue vivre avec Jean-Marie, ce n’aurait pas été surprenant, parce que, sans vouloir te vexer, tu peux être un peu intolérante.
— Je suis désolée, Paula, je ne comprenais pas alors que l’on puisse aimer quelqu’un qui ne pense pas comme soi.
— Attends, ne tombe pas dans l’excès inverse, tu le connais à peine. Jean-Marie et moi on a mis plusieurs mois à réaliser et d’être sûrs de nos sentiments.
— Ne t’inquiète pas. Je sens… Non… je sais qu’entre lui et moi il y a quelque chose de… de spécial. Je sais que ça fait un peu pompeux de dire ça, mais c’est vrai. Quand je suis avec lui, je ne me sens plus la même.
— Ça, je confirme, tu n’es plus la même. Jamais au grand jamais je n’aurais pensé te voir un jour presque tendre les fesses pour te faire mettre la main au cul, surtout après t’avoir vue retirer ta culotte.
— Ah, tu as vu ça aussi.
— Ben oui, je suis désolée de t’avoir espionnée, mais j’étais tellement estomaquée de te voir agir que je n’ai pas pu m’en empêcher.
— Je ne t’en veux pas, j’aurais fait pareil, sauf que moi je serais probablement allée te faire la morale et te traiter de folle.
— Moi aussi j’aurais fait pareil il y a encore un an. Dis-moi, il t’avait fait autant d’impressions à votre première rencontre ?
Lise se ...
... trouve gênée, elle se trouble, hésite avant de murmurer :
— Il faut que je t’avoue quelque chose, en espérant que tu voudras bien me pardonner. Si tu savais comme je m’en veux depuis ce jour.
— Te pardonner ! Mais de quoi ?
Lise, les yeux baissés, après avoir fait promettre à sa sœur de ne pas l’interrompre et de ne le dire à personne, lui raconte tout : son obsession de vouloir briser sa relation avec Jean-Marie, l’idée des papiers pour le compromettre, sa mise en œuvre et une fois dans l’appartement pour se retrouver en face de Bernard, et ce qui s’en est suivi. En entendant le récit, Paula n’en croit pas ses oreilles. D’abord l’idée de Lise pour torpiller son couple, la fait bondir, elle va pour lui dire vertement ce qu’elle pense, mais de voir sa sœur aussi contrite et de savoir la suite la retiennent. Quant à la seconde partie, elle en reste sans voix. C’est si extraordinaire, qu’elle en oublie ce qui en est à l’origine. Quand le récit s’achève, elle reste, un moment, muette avant de bégayer :
— Toi ! Tu… tu as fait ça !
— J’ai été surprise. J’ai eu peur qu’il appelle la police, avec mon casier, je me voyais mal barrée. J’étais entrée avec effraction et, si je lui disais qui j’étais, comment justifier ma venue alors que je savais que vous étiez absents, que vous ne m’aviez chargée de rien et que les clefs, je les avais chipées.
— Les clefs de Jean-Marie ! On n’a rien compris. Je les ai retrouvées dans l’entrée alors que c’est lui qui avait fermé la porte. On ...