1. Jumelles moins proches


    Datte: 22/06/2025, Catégories: fh, freresoeur, humilié(e), dispute, photofilm, Masturbation Oral 69, fgode, pénétratio, fdanus, coupfoudr, rencontre, Auteur: Bernard Nadette, Source: Revebebe

    ... où…
    
    Elle s’interrompt brusquement en réalisant qu’elle vient de dire à sa sœur qu’elle est dans le lit de Bernard. Paula se retient de rire :
    
    — Tu ne devrais pas avoir de mal à le trouver. On vous attend.
    
    Elle se lève, quand une voix retentit :
    
    — Bonjour. As-tu bien dormi ?
    — Bonjour. Un peu court, mais je ne le regrette pas.
    
    Ils s’embrassent longuement.
    
    — Un jour qui commence ainsi ne peut pas être un mauvais jour.
    — C’est vrai. Paula et ton cousin nous attendent pour le petit-déj.
    
    Elle commence à chercher ses affaires qu’elle a dispersées aux quatre coins de la chambre en se déshabillant. Elle tente de récupérer son soutien-gorge sous un fauteuil quand la voix de Bernard retentit :
    
    — Tu as vraiment un beau cul.
    
    Elle se retourne d’un bloc et va pour se lever.
    
    — Remets-toi comme tu étais, que je puisse encore l’admirer.
    
    Une partie d’elle va pour se rebeller contre cet ordre, mais une autre la fait obéir avec un frisson de plaisir.
    
    — Pour un beau cul, c’est vraiment un beau cul. Écarte un peu plus que je vois ta chatte.
    
    Elle écarte… beaucoup plus.
    
    — Ta chatte n’a vraiment rien à lui envier et tu peux me croire. Je la connais bien ta chatte depuis que je t’ai filmée à t’y enfiler des godes tout un après-midi.
    
    Elle n’aime pas trop qu’il lui rappelle cet épisode peu glorieux. Elle préfère changer de sujet :
    
    — N’oublie pas qu’on nous attend, dit-elle en se redressant.
    
    Il lui appuie sur la nuque :
    
    — Il n’y a pas le feu au ...
    ... lac. Même si je la connais, je ne me lasse pas de la regarder.
    
    Docilement, elle se remet en position. Il lui caresse la nuque, le dos, les fesses, avant de frôler sa fente. Elle frémit, il insiste, puis lui fait voir ses doigts gluants :
    
    — Tu démarres au quart de tour. La preuve : regarde ! Au fait, après combien de godes as-tu apprécié l’exercice ?
    — Je n’ai pas…
    — N’oublie pas, j’étais là.
    
    Lise est au comble de la confusion, mais elle éprouve un certain plaisir à se faire ainsi pousser dans ses retranchements :
    
    — Je ne sais pas exactement. Dès le début, j’ai été troublée, mais ce n’est qu’à partir du quatre ou cinquième que c’est devenu bon.
    — Maintenant que nous avons été présentés, il faudra que je te fasse voir.
    
    Point n’est besoin à Lise de plus de précision. Elle sait de quoi il s’agit. Elle en rosit de confusion. Ce qui ne l’empêche pas de dire :
    
    — Quand tu veux, je suis curieuse de voir ça.
    — Ça en vaut la peine. Ce soir si tu veux.
    — Ce soir, alors.
    
    Il l’aide à se relever. Il hésite un instant, l’air sérieux :
    
    — Écoute, Lise, je sais que c’est rapide, mais j’aimerais que tu viennes habiter avec moi. Je sens que malgré toutes nos différences, nous sommes destinés l’un à l’autre.
    
    Lise ne s’attendait aucunement à cette demande. Elle le regarde intensément. Son regard se voile un peu. Elle se racle la gorge :
    
    — Moi aussi, je le sens. Nous irons chercher mes affaires cet après-midi.
    
    Ils s’embrassent à nouveau longuement.
    
    — Je… je ...
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