1. Festival entre amis, la suite


    Datte: 08/03/2018, Catégories: Entre-nous, Les femmes, Auteur: Solweig, Source: Hds

    ... tel objet et n'étais pas très à l'aise avec son utilisation. Elle dût sentir ma réticence car elle me glissa : "Je te promets que tu vas prendre ton pied, on va jouir ensemble ma belle.". Elle me fit m'installer en levrette et introduit par surprise mais d'une main experte une extrémité du godemichet dans mon trou béant. Le gland du godemichet était large, offrant une sensation immédiate. J'attendais la suite dans un mélange d'appréhension et d'envie. Elle se fourra l'autre extrémité du sextoy et entreprit de s'empaler dessus tout en me baisant avec. La sensation était des plus agréables ; je la sentais se branler en aggripant mes cuisses tout en emplissant ma chatte de ce gros engin. La situation devenait intenable pour les garçons qui passaient régulièrement une main sur leur entrejambe, se demandant probablement quand ils pourraient dégainer. Le fait que ce soient des amis était alors très précieux, car ils respectaient la demande de Paola, à savoir, regarder sans toucher, et ils n'osaient pas se masturber, c'était presque touchant.
    
    Paola jouait avec le rythme des va-et-vient et je sentais la pointe de ses seins frotter sur mon dos. Elle ôta un instant le godemichet pour venir s'empaler elle aussi en levrette, dos à moi. Nous étions toutes les deux à quatre pattes, fesses contre fesses, le godemichet reliant nos sexes dilatés. Nos fesses claquaient les unes ...
    ... contre les autres à chaque va-et-vient et nous eûmes vite très chaud toutes les deux. Je lançai à Paola entre deux halètements : "Tu ne crois pas qu'il faudrait avoir pitié de nos spectateurs à présent?". Paola rétorqua : "Tu n'as pas besoin d'eux pour jouir, n'est ce pas?". Elle retira le godemichet, s'allongea sur le dos et m'attrapa par la taille, m'installant à califourchon sur elle. Saisissant un de mes seins d'une main pour faire rouler mon téton sous ses doigts, elle plaça le godemichet à la verticale entre ses jambes en le maintenant pour que je puisse m'empaler dessus. Chaque va-et-vient venait caresser son sexe et elle gémissait avec moi. Je ne tardai pas à jouir dans un râle profond. Paola me lança une claque sur les fesses : "Visiblement, tu n'as pas besoin d'eux pour jouir".
    
    Jonathan avait de la suite dans les idées et le plan de Paola avait manifestement fonctionné : il était excité à mort. Il s'exclama : "Vous ne pouvez pas nous laisser dans cet état les filles !". Tout en se rhabillant et en repliant son plaid, Paola le fixait, l'air moqueur. Elle s'approcha de lui et l'attrapa par la ceinture, l'entraînant vers sa voiture. "Je vous le rends plus tard, à plus !", cria-t-elle par la fenêtre en démarrant sa voiture.
    
    J'étais dans un état second. Il devait être midi, j'avais faim et envie de boire un mojito. Tom me proposa de déjeuner chez lui. 
«1234»