Dominant Wife 02
Datte: 21/06/2025,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: byomrouge, Source: Literotica
Voilà notre histoire jusqu à ce matin et la sonnerie de ce satané réveil.
Je me lève péniblement et, encore ensommeillé, passe dans la salle de bain pour aller aux toilettes et prendre ma douche. La cage métallique qui m'enserre le pénis me tire un peu. Les poils doivent commencer à repousser et il va falloir que je demande à Madame qu'elle m'épile à nouveau. C'est sa nouvelle manie, elle veut que je l'appelle Madame. Pour tout étranger qui nous observerait vivre, sans aucun doute, il douterait de l'amour qui nous uni Madame et moi, mais je sais que notre manière de vivre atypique n'a rien enlevé à notre amour, au contraire, Elle prend du plaisir à m'imposer des choses de plus en plus dégradantes parce qu'elle sait que je prends du plaisir à lui obéir docilement. C'est sa manière à elle de me prouver son amour, jour après jour, et j'en ai conscience. Quant à moi, ce n'est plus de l'amour, c'est de l'adoration . J'ai toujours aimé Hélène, durant les 12 ans de notre mariage, mais jamais je n'ai éprouvé un tel sentiment que depuis que nous avons commencé nos nouvelles relations.
La douche me fait du bien et achève de me réveiller. Je n'ai pas la difficulté de choisir mes vêtements puisque le week-end, Madame souhaite que je reste nu à la maison, sauf quand nous avons de la visite.
Une fois essuyé, je passe à la cuisine. Elle aime des petits déjeuner copieux les lendemains de fête et je mets tout en place pour le préparer quand elle se réveillera. Puis je range la ...
... maison, en faisant le moins de bruit possible. Depuis que je m'occupe de toutes les tâches de la maison, Hélène est devenue incroyablement bordélique et je retrouve des affaires à elle un peu partout. Enfin, je rentre avec précaution dans sa chambre pour mettre au lavage ses vêtements sales. Dans la pénombre, je m'arrête un instant pour l'observer. Elle dort sur le dos, largement étalée sous la couette, et ronfle légèrement. Je me rappelle avec nostalgie le temps, pas si lointain, où nous partagions le même lit, ou je pouvais sentir sa chair chaude contre moi tous les jours. Je la trouve belle dans son sommeil. Elle ne fait vraiment pas son âge. Je récupère ses affaires éparses, ses bas, sa culotte, son soutien-gorge, sa robe, et sort les mettre dans la buanderie. Fidèle à mon habitude, je ne peux pas m'empêcher de sentir l'odeur fauve que ses pieds ont laissé dans ses bas , et celle plus musquée et aigrelette de sa culotte. Cela provoque inévitablement une tension pénible dans ma cage mais c'est plus fort que moi. Cela fait maintenant 12 jours que je n'ai eu aucun contact intime avec elle et ça me manque. Je fais le tri du linge et lance une machine, l'essorage ne commencera pas avant une bonne heure et elle devrait être réveillée d'ici là. De toutes façons, porte fermée, le bruit est fortement atténué.
Je regarde la pendule de la cuisine, il est 8h45. Tout est fait. Je reviens dans sa chambre et me met à genoux sur sa descente de lit, attendant qu'elle se réveille. Le temps ...