L’institut
Datte: 21/06/2025,
Catégories:
fh,
caresses,
occasion,
Massage,
Auteur: CarpediemAdlib, Source: Revebebe
... pression du bas de la blouse s’est ouvert !
Je poursuis, innocente comme je suis.
Adrien quant à lui savoure pleinement à la fois le massage mais aussi la vue. Il faut dire que Mlle Jade travaille dans un institut et que sa pilosité est donc parfaitement taillée et entretenue. Il se dit que ça doit toujours se passer ainsi et que ça fait partie de la prestation. Allez, il faut se détendre maintenant.
Le moment arrive où je demande à Adrien de basculer sur le dos. Il semble mal à l’aise mais obtempère malgré tout. Je me mets en place. Il a les yeux fermés… mais moi pas. Je vois dépasser de son string son sexe bandé. Le jeune homme n’est pas insensible à mon massage.
Cette vue me laisse pantoise… l’après-midi n’a fait que me faire monter en pression.
Sans réfléchir, je me saisis de son pied et reprends ma tâche. Eh oui, je ne lui ai pas remis la serviette sur le bas-ventre !
Je profite pleinement de la vue. Après tout, il est tard, l’institut doit s’être vidé et le jeune ne semble pas se plaindre.
Les yeux rivés sur son gland je m’applique à mon travail, les idées ailleurs. Le massage de ses orteils ressemble fortement à une lente masturbation. L’effet est encore plus visible sur sa personne. Il a ouvert les yeux et m’observe silencieusement.
C’est moi maintenant qui suis mal à l’aise. Je me remets debout et commence à remonter sur ses mollets. Mes doigts toujours aussi précis, mon regard de plus en plus vicieux. Je ne m’attarde pas sur cette zone et ...
... remonte m’occuper de ses cuisses.
Je surplombe son sexe. Ma bouche n’en est pas si loin. Mes doigts pressent sa cuisse et remontent doucement vers son aine. Mon poignet heurte sa tige raidie, la bouscule. À chaque remontée, je lui stimule les testicules du bout des ongles. Mon Dieu qu’ils ont l’air pleins. Je sens l’effet produit par ce jeune homme, mes cuisses sont légèrement humides. Il reste 15 minutes. Les couloirs sont éteints, l’institut s’est vidé.
Je me décide à lui offrir un souvenir mémorable.
Je repasse derrière sa tête alors qu’il est encore allongé sur le dos. Il me voit en contre-plongée. Je dégrafe tous les boutons de ma blouse. Il voit ainsi ma poitrine par en dessous. Je m’approche. Ses yeux ne me quittent plus. Je m’allonge sur son torse : mes seins reposent sur son visage, mes bras sur son torse et mes mains lui caressent le ventre jusqu’au pubis. Je sens sa langue pointer sur mes tétons, jouer avec eux. J’accentue mes caresses, toujours plus proches de cette jeune tige de chair. Elle pointe maintenant vers moi, gorgée de sang, le gland rouge gonflé. Je promène mes mamelons sur ses joues, je me joue de lui.
Sans signe annonciateur, il se met à éjaculer. Je reçois ses jets dans le cou, puis sur les mains. Son sexe est comme habité, il ne cesse de tressauter. Quelques gouttes viennent se perdre dans ses poils.
Quelle puissance ! Quelle jeunesse… !
Je m’écarte de lui pour me saisir de la serviette qui ne sert plus, et me porte à hauteur de son ...