Ambre, divorcée...
Datte: 21/06/2025,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Davidson, Source: Hds
Ambre, trente sept ans, fonctionnaire divorcée venait d'obtenir sa mutation dans le midi, elle aurait préféré Nice, elle avait obtenu Marseille, ce n'était déjà pas si mal.
Elle avait passé quelques semaines à trouver un appartement; son critère de base: "avec vue sur la mer" avait réduit le choix et augmenté le montant des loyers.
Mais le fait d'être "une fonctionnaire qui travaille aux impôts" avait convaincu une vieille dame, propriétaire d'un petit immeuble avec un commerce en rez de chaussée, de lui louer le logement de type 3 du deuxième étage.
A vrai dire Ambre n'avait pas besoin d'une aussi grande surface, mais lorsque l'agent immobilier avait ouvert la porte-fenêtre donnant sur le balcon, elle avait été éblouie: la mer, les iles, le ciel, la lumière! Tout en mieux que dans le plus beau de ses rêves.
Elle s'installait progressivement, le premier décalage qu'elle avait constaté était lié aux vêtements, il est vrai que la différence de climat entre Metz, d'où elle venait et la Provence y était pour beaucoup. Depuis son arrivée, pas un seul jour de pluie et aucune gelée matinale!
Le second décalage était lié aux relations sociales; à Metz les relations interpersonnelles étaient relativement distantes, mais ici elle avait déjà reçu plusieurs invitations à diner de la part de plusieurs camarades de travail.
Du côté de Metz, Ambre, célibataire très "branchée" côté sexe, avait un peu fréquenté le "labyrinthe", "l'intime" et le "quai 57", mais surtout elle ...
... avait préféré de hanter les clubs libertins du Luxembourg ou d'Allemagne.
Ce soir elle était invitée chez sa collaboratrice directe, subordonnée certes, mais Ambre ne se considérait pas comme une "supérieure hiérarchique".
Elle avait hésité sur sa façon de se vêtir, mais soit elle s'habillait comme au boulot (en "chef"), soit avec des vêtements qu'elle utilisait pour "sortir" à Metz, certes cela risquait de faire "un peu pute", mais avec des collants et un chemisier sagement boutonné, cela devait pouvoir "passer".
Elle venait de sonner à la porte, vêtue d'une jupe relativement courte (mi-cuisse) mais très moulante et d'un chemisier totalement boutonné, sa veste qu'elle comptait conserver complétant l'ensemble.
C'est le mari de sa collaboratrice qui vint lui ouvrir. "Ma femme est dans la salle de bain, entrez, venez vous installer, elle ne va pas tarder, venez je vous débarrasse!"Ambre tendit le sac de papier contenant une bouteille de porto, mais l'homme attendait visiblement la veste et le sac à main qu'elle lui remis.
Il la fit s'installer dans un fauteuil très confortable mais dont la profondeur faisait remonter nettement la jupe ("heureusement que j'ai mis des collants" se dit elle). Il s'installa sur la banquette en face et entama une conversation amicale sur son installation à Marseille.
Sa collaboratrice sortit de la salle de bain vêtue d'un ample tee-shirt (sous lequel elle était visiblement nue) en s'exclamant "j'ai dit à Michel que vous ne faisiez ...