1. Faites des enfants… !


    Datte: 20/06/2025, Catégories: fh, hplusag, alliance, amour, entreseins, Oral pénétratio, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... notre relation. Non seulement Isabelle s’installe à demeure dans ma chambre, mais elle devient comme une chatte en chaleur, quémandant en permanence caresses et coups de queue. Je n’en suis pas avare, mais il est vrai que l’on change avec le temps. Jeune, je « lapinais », avec pour seule obsession de vider mes gonades dans la chatte de ma femme, parfois jusqu’à une dizaine de fois par jour. Avec Élise, le temps imparti à notre relation secrète imposait également une certaine rapidité, mais était limité à un créneau horaire unique et invariable. Avec Isabelle, dans la grande liberté que nous offre cette maison isolée au milieu d’un parc, le « minimum syndical » devient trois fois par jour, matin, après-midi et soir, c’est-à-dire au moins six heures quotidiennes à satisfaire nos envies. Je peux retenir mes orgasmes longtemps et lui en donner de nombreux. Et elle adore cela.
    
    Cette maison m’était jusque-là indifférente. À mon goût, certes, mais je l’avais fait construire à une époque où mes relations avec mon épouse étaient déjà très distendues. Je n’y avais donc aucun souvenir heureux, d’où mon détachement total envers la coquille qui m’abritait. Cela change radicalement depuis que je peux rassasier mes sens dans chacune des pièces avec ce jeune corps outrageusement érotique, offert, toujours prompt à ouvrir ses cuisses, toujours humide à souhait. Même le parc accueille nos ébats les nuits d’été, et je ne compte plus les arbres à l’écorce desquels j’ai frotté ses tétons ...
    ... érigés, ses mamelles pressées dans mes mains en coupes et mon phallus planté entre ses fesses. Si la légende est vraie, nous allons être sous peu envahis de mandragores. Je ne me lasse pas de l’aubaine que représente ce joli corps à la fois ferme et tendre, sans l’atteinte des ravages du temps et soumis au moindre de mes désirs. Je ne me lasse pas de le sentir vibrer et tressauter au bout de ma queue par le plaisir que je lui donne. Les bêlements orgasmiques d’Isabelle, ses rires cristallins sous mes caresses coquines, emplissent la maison d’une musique qu’il faudrait appeler « la symphonie du bonheur », si le titre était libre. J’en deviens follement amoureux malgré tout ce qui nous sépare, le lien familial, l’âge, la culture, la condition sociale. Peu m’importe, elle me rend heureux, je la rends heureuse, mais j’ai bien conscience que cette harmonie n’aura qu’un temps, j’en profite doublement. Et je me prends à aimer cette maison qui devient enfin mienne sans plus l’être qu’à moitié.
    
    Quelques semaines plus tard, et tout à fait par hasard, nous avons confirmation de l’homosexualité de mon fils. Nous regardons un reportage sur la 5, chaîne qu’Isabelle découvre, sa mère regardant exclusivement la 1 et la 6, qui traite de ces Français qui projettent de vivre au Maroc, pays de soleil et de coût de la vie très bas. Comme toujours, les journalistes essayent d’être assez exhaustifs et, après les riads somptueux à quatre-vingt mille euros malgré de superbes moucharabiehs sculptés à la ...
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