Faites des enfants… !
Datte: 20/06/2025,
Catégories:
fh,
hplusag,
alliance,
amour,
entreseins,
Oral
pénétratio,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... à une décision de justice, sa responsabilité ne pourrait en aucun cas être engagée vis-à-vis de la provenance de l’argent qu’elle recevra, bien moins que le virement automatique qu’elle reçoit jusque-là. Ils décident donc d’en rester sur des bases identiques, bien que peu avantageuses pour la jeune femme, de mille cinq cents euros par mois qu’il lui verse depuis qu’elle vit chez moi. En fait, je pense qu’elle redonne l’essentiel de cette somme à sa mère qu’elle voit… une fois par mois, comme par hasard.
Tous ces longs mois ne sont pas que de l’attente stérile, ou du moins nous savons l’occuper. Je n’ai de ma vie autant fait l’amour, et Isabelle non plus, mais sa vie est beaucoup plus courte. Mon sexe sollicité plusieurs fois par jour ne retrouve plus d’état de repos, « le minimum rabougri » habituel. Il reste en permanence irrité et légèrement gonflé, en même temps que très sensible. Ce qui me rassure, c’est qu’Isabelle est dans le même cas. Son clitoris et toute sa vulve restent gonflés, partiellement gorgés de sang, et même sa petite rondelle ressemble à une petite bouée dilatée, le tout prêt à redémarrer à la moindre sollicitation. Son corps aussi s’est peu à peu transformé, elle a pris quelques kilos. Oh, elle ne s’est pas empâtée comme ma défunte épouse, non, disons simplement que la jeunette aux allures parfois adolescentes a laissé place à la trentenaire épanouie, détendue et heureuse. Nous faisons beaucoup l’amour et sortons peu, mais tout de même, il faut bien ...
... aussi faire autre chose, nous nous l’imposons presque. Parmi nos rares sorties, en dehors des courses obligées, j’aime bien faire les brocantes et les vide-greniers. Je reviens souvent sans avoir rien acheté, mais j’y apprends plein de choses sur des objets bizarres en discutant avec les vendeurs. C’est ainsi que je tombe par hasard sur une série de photos anciennes, au format de cartes postales, qui se voulaient « coquines » à l’époque. On y voit une ancienne beauté aux allures d’odalisque exhiber ses formes charnues dans des tons sépia, avec pour seuls accessoires une chaise et un pan de voile. Je tombe en arrêt, ce cul n’était autre que celui de ma maîtresse, à peu de chose près. J’achète tout le paquet pour quelques euros et étale mon trésor sur la table basse du salon, sous le regard amusé d’Isabelle goguenarde. Un peu plus grande, un peu moins dodue, qu’elle le veuille ou non elle a la même morphologie que ce modèle de 1928 : le même fessier charnu, la même taille bien prise, la même poitrine lourde et drue, la même peau blanche qui accroche la lumière, le même buisson velu ornant son bas-ventre, les mêmes chevilles épaisses alourdissant la silhouette. Sans le moindre doute, ma jeune maîtresse détient cette beauté surannée. Du coup, Isabelle se fait faire une coupe au carré du style des années folles, une mouche sur la pommette, des yeux outrageusement charbonnés de rimmel et des lèvres tartinées d’un rouge sombre.
— Alors, demandé-je ? Tu lui ressembles, non ?
— Je ...