Choisir entre mari et amante
Datte: 20/06/2025,
Catégories:
fh,
ff,
fplusag,
couple,
extracon,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
caresses,
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hdanus,
extraconj,
lesbos,
Auteur: Femmophile, Source: Revebebe
... n’en gratifiait jamais Catherine. Cette fois, encore secoué par le puissant orgasme qu’elle lui avait procuré, il surmonta ses réticences et se mit en devoir de faire vivre à sa femme un plaisir total. Il ne pouvait pas le savoir, mais aussitôt que sa langue entra en contact avec les muqueuses sensibles de son épouse celle-ci, les yeux fermés, imagina Cathy lui prodiguer ses divines gâteries. Elle se mit à onduler, à gémir de plaisir jusqu’à ne plus en pouvoir et saisissant Franck derrière la tête, lui écrasa son sexe sur la bouche et dans un râle impressionnant, le corps entier secoué de frissons, inonda le visage de son mari emprisonné entre ses cuisses tendues.
— Tu as été merveilleux, mon chéri, tu m’as fait jouir divinement, j’en tremble encore. Embrasse-moi.
Couvrant le corps de son homme, Catherine l’embrassa langoureusement, en même temps qu’elle bougeait son bassin, pas encore rassasiée de plaisir. Le frottement du nylon des bas sur son sexe et la caresse des pointes de sein durcies sur son ventre provoquèrent chez Franck une érection rapide, que Catherine sentit.
— Oh, mais tu as encore envie de moi, mon amour, tu me trouves toujours désirable ? C’est pour moi que tu bandes aussi dur ?
— Catherine, tu me rends fou, je ne t’ai jamais senti aussi excitée, tu coules, qu’est-ce qu’il t’arrive ?
— Je t’expliquerai plus tard, mon cœur, pour le moment prends-moi, montre-moi que je te plais encore ! Baisse-moi ma culotte et baise-moi !
Catherine se redressa ...
... et s’agenouilla à côté de Franck, la tête posée sur l’oreiller et les fesses offertes pour un assaut charnel.
De voir ainsi sa femme, les jambes gainées de bas, écartelée, une main caressant sa fente luisante de désir et l’implorant de la prendre au plus vite fit monter chez cet homme d’ordinaire modéré des pulsions bestiales, dignes de la Guerre du Feu de Jean-Jacques Annaud. Saisissant Catherine par les hanches, il descendit sa culotte à mi-cuisses, la pénétra d’un seul coup et se mit à lui labourer le bas-ventre, proférant des mots salaces à une épouse brûlante qui en redemandait et l’encourageait.
— Encore, Franck, plus fort, défonce-moi !
Rapidement Franck ressentit le fourreau brûlant se contracter autour de son épieu, Catherine hurla son plaisir, sa petite crevasse laissant déborder une coulée de lave.
— Tu m’as comblée, Franck, tu m’as emmenée dans les étoiles… Mais tu n’as pas joui, mon amour, je veux encore te sentir en moi, je veux ta liqueur au plus profond de moi…
Franck, encore médusé par le comportement de sa femme n’en crut pas ses yeux lorsqu’il la vit sortir de sous l’oreiller un flacon de lubrifiant. Sans pudeur aucune, elle l’ouvrit et en versa une bonne quantité sur ses doigts, qu’elle dirigea vers sa petite étoile brune. Elle étala le liquide, puis enfonça un doigt dans son anus, le faisant aller et venir avant de reprendre un peu de produit et, cette fois, d’utiliser deux de ses doigts.
Elle s’empara alors du sexe de son mari qu’elle ...