1. Double jeu


    Datte: 19/06/2025, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Couple-subtil, Source: Hds

    ... espèce de bellâtre qui se balade souvent la bite à l’air dans les soirées tant il en est fier. « Tu nous suces ici ou ailleurs », demande Karl, que je connais bien, la cinquantaine, beau mec, musclé, dont la femme est une belle blonde aux seins opulents. « Ici, allez montrez vos bites les garçons. » Ce qu’ils font et là j’écarquille les yeux. Le petit gros est doté d’un engin digne des plus grands éloges. Encore au repos il arbore un boudin qui ne tarde pas à prendre des proportions éléphantesques. Même les mecs ont ébahis. « Eh Louis, tu nous avais caché ça ! » Je le prends en main et il prend des dimensions de plus en plus hallucinantes. J’en ai vu des bites cette année mais cela dépasse tout ce que j’imaginais. Louis est très doux. Je me mets à genou devant lui. Je lui fait un baiser sur le gland déjà découvert, je le lèche, je tente de le prendre en bouche mais j’y arrive à peine. Très doux il n’insiste pas. Les deux autres hommes n’exigent pas leur du. « Rentrons, il commence à faire froid », me dit Karl.
    
    Dans la maison la plupart des femmes sont rentrées, accompagnées de leurs chasseurs. Les miens me proposent de nous retrouver à l’étage. En montant je croise Léopold occupé à baiser la femme de Karl debout dans l’escalier. Je suis un peu jalouse. J’ai hâte d’en faire autant. Au premier étage les quatre chambres sont déjà bien occupées. Nous continuons. Les hommes flattent mes fesses. Une femme est attachée le long de la rampe. Un homme veille sur elle et ses ...
    ... liens.
    
    Au second nous entrons dans une petite pièce inoccupée. L’impression d’être dans un autre univers est accentué par l’absence d’électricité. La lumière vient de petites lampes à pile qui ne donnent qu’une faible luminosité.
    
    Je m’installe sur un fin matelas et les trois hommes viennent prendre leur du. L’un me déshabille complétement pendant que l’autre me pénètre de ses doigts, puis deux me lèchent les seins. Je me sens partir. J’oublie tout. Quelle sensation exquise d’être la proie de ces trois mâles. Dont Louis dont je me demande si je suis à même de l’absorber. D’ailleurs les deux autres lui disent : « Louis tu passes en dernier. On veut sentir sa chatte avant que tu l’élargisses », rigole Karl : « Ca ne vous dérange pas que je passe en premier ? » Mais vas-y, prends-moi. Oui, je te sens. Tu cherches le chemin. Je te prends ta bite – ma foi de belle facture – pour t’aider. Oui. C’est bon. Prends ton temps mais vas-y fort. J’aime me sentir chienne. Il le sait le salop puisqu’il le dit : « Prends ca petite chienne. Un tu aimes ça. Quand je vais te retourner tu seras encore plus chienne ».
    
    Quelques instants après c’est ce qu’il fait. Me voilà dans ma position préférée. Je mets la tête sur le matelas et d’une main je me touche pendant qu’il me prend. Je sens bien ses mains sur mes hanches. J’adore ça. Très excité il ne tarde pas à jouir en me flattant mes seins que je sens ballotter de toute part. Même avec le préservatif je le sens bien. Ni une ni deux le bellâtre ...