D'épouse Prude à Femme Délurée 5/7
Datte: 19/06/2025,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bycoquinette18, Source: Literotica
L'envie
Suite de l'histoire : Le Règlement Final
Cela fait un bon mois que mon aventure dans le parking du centre commercial s'est passée et je repense souvent à cette soirée, provoquant immédiatement en moi une excitation importante.
Ce week-end, je me retrouve seule, car mon mari est en séminaire avec son entreprise et l'invitation d'Abdel trotte dans ma tête.
Je suis partagée entre la peur d'aller dans cette citée la nuit et en même temps je repense à ces multiples orgasmes qui se sont succédés lors de cette soirée.
Je passe ainsi mon samedi après-midi à diverses tâches ménagères, mais l'idée de franchir le pas, m'obsède au plus haut point.
Je prend une douche tout en observant mon corps nu et encore très appétissant pour une cinquantenaire.
Mes seins de taille moyenne se tiennent bien, mes fesses rebondies sans trop de cellulite attirent le regard et ma chatte bien entretenue est une invitation au péché.
J'enfile une chemise de nuit et je décide ensuite de me faire un plateau télé.
Je suis allongée sur le canapé mais je n'arrive pas à me concentrer sur l'émission de divertissement, tellement la tentation est grande, d'oser l'impensable.
Ma main descend vers mon entrejambe et je constate sans surprise que je suis trempée.
Ok, c'est bon, après tout on n'a qu'une vie, et il faut en profiter.
Je me lève et je vais choisir une tenue dans mon dressing.
J'opte pour un ensemble string et soutien gorge verts en dentelle, une jupe verte ...
... également arrivant à mi-cuisse, un chemisier blanc dont je vais laisser les trois premiers boutons ouverts, afin de créer un beau décolleté.
J'enfile ensuite un manteau, trois quart, également vert, que je laisse ouvert, et enfile une paire d'escarpins de la même couleur.
Le reflet que renvoi le miroir me plait.
On dirait une femme d'affaire, mais super sexy.
Je ferme la porte et glisse les clés sous le paillasson, puis en sortant de l'immeuble, je cache le badge d'entrée dans le massif de fleurs, à côté du perron.
Il est 21h30 et me voilà partie pour une nuit pleine d'incertitude.
Après vingt minutes de marche, j'arrive au parking du centre commercial, bordé par les bâtiments de la cité.
Etant seule, mes pas résonnent dans le silence de la nuit, et je me demande si je vais avoir le courage d'entrer dans la cité.
J'ai une boule au ventre, la gorge sèche et une certaine appréhension.
Deux jeunes passent en scooter et me sifflent.
J'avance lentement et passe deux porches.
Au troisième un groupe de jeunes m'interpelle.
Je n'ose pas les regarder et continue d'avancer.
Sentant mon malaise, ils me suivent, tout en me sifflant et en continuant de s'adresser à moi, en des termes un peu crus.
Ne sachant que faire, j'accélère le pas et me dirige vers une cage d'escalier.
J'entre dans le hall, et me retrouve bloquée devant une porte et des interphones.
Les jeunes m'ont rejoint et me demande chez qui je vais.
Je répond que je cherche ...